21 septembre 2010
AERES: la FC à Toulouse 3

Les dispositifs pédagogiques d’aide à l’orientation et à la construction d’un projet professionnel ne sont pas encore généralisés. La culture de la compétence reste encore à développer. Enfin, les formations en alternance sont étonnamment peu nombreuses : 2 DUT, 3 LP, la licence MIAGE, le master MIAGE et le master STRI. L’ouverture à la formation continue se fait surtout dans les diplômes professionnels. Dans la majorité des mentions générales de licences, aucun dispositif n’est prévu. (p.13)
Sur ce dernier point l’UPS a parfaitement conscience de son retard en matière de dispositifs ENT, même si la formation continue a développé des formations à distance ou si encore l’offre de cours en ligne s’accroit. (p.21)
Au titre des points forts on retiendra l’effort de formation continue des personnels qui est une priorité nettement affichée dans l’objectif d’une élévation du niveau de compétences. L’Université abonde de façon substantielle, sur ses ressources, les moyens contractualisés (en 2009, budget de 400 000 € pour 210 actions). La restructuration des services centraux s’est fort judicieusement accompagnée d’un renforcement de l’encadrement qui apparaît globalement de belle qualité. (p.22)

Dispositius per a l'Educació a les ajudes d'orientació i construcció d'un projecte professional no s'ha generalitzat encara. La cultura de la competència està encara en desenvolupament. Finalment, la formació en alternança són sorprenentment poques: OTC 2, 3 LP, Miage llicència, el capità i el capità Miage stria. La introducció de la formació es troba principalment en els graus professionals. En la majoria de les condicions generals de concessió de llicències, no hi ha cap dispositiu proporcionat. (P.13)
Sobre aquest últim punt el SAI és plenament conscient de la demora en diferents dispositius, encara que la formació s'ha desenvolupat cursos a distància o fins i tot ofereixen cursos en línia està creixent. (P.21) Més informació...
Le doctorat, seul vrai diplôme universel ?

Se présentant comme « un pur produit du système français » (huit ans à l’ENS Paris comme élève et assistant, puis dix comme professeur à l’ENS Lyon), Cédric Villani décèle néanmoins deux problèmes : « les moyens et la souplesse ». « Il faut accepter plus de souplesse : il faut donner davantage de cours en anglais pour attirer des thésards étrangers, harmoniser les systèmes de bourses trop complexes, et il faut absolument régler les problèmes administratifs que rencontrent thésards et chercheurs pour venir en France. C’est un enjeu d’attractivité pour le pays. »
Invité à s’exprimer lors de cette séance plénière inaugurale, Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre, souhaite quant à lui attirer l’attention des auditeurs sur « la bataille de l’avenir, celle de l’innovation, de la formation et de la recherche », qui a été « bien comprise par les pays émergents, notamment la Chine et l’Inde ». « Il faut être conscient que celle qui est devenue récemment la deuxième économie mondiale ne sera pas seulement une puissance économique : elle arrive avec ses normes et ses valeurs. Elle sera aussi une puissance dans le domaine culturel et intellectuel. C’est une nouvelle donne qu’il faut prendre en compte. »
