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Formation Continue du Supérieur
22 mai 2010

Les Rencontres de la Modernisation de l'Etat 2010

LE RENDEZ-VOUS DES DÉCIDEURS DES TROIS FONCTIONS PUBLIQUES
Organisée par Acteurs publics, la troisième édition des Rencontres de la Modernisation de l'État aura lieu les 5, 6 et 7 juillet 2010 à la Maison de la Chimie (Paris). Tous les acteurs de la modernisation de l'État pourront échanger au cours de 16 débats, 37 conférences, 4 plénières, 2 petits-déjeuners débats et la traditionnelle remise des Victoires de la Modernisation de l’État à l’Assemblée nationale le 7 juillet (candidature en ligne). Programme. Inscriptions.
Les thèmes abordés: Le leadership dans la conduite de la réforme, Comparaison vaut-elle raison? Réussir une transformation, Externaliser avec raison, Parcours citoyen, Recrutement en ligne, Achats responsables, "Les mots de la modernisation de l'État", Le retour du préfet tout puissant (Un temps en retrait, le préfet de région semble avoir retrouvé le devant de la scène à la faveur de la crise et de la réorganisation de l'administration territoriale de l'État. Retour durable ou un phénomène ponctuel? Comment cette prédominance s'organise sur le territoire? Les services déconcentrés des autres ministères acceptent-ils cette nouvelle donne faisant la part belle au ministère de l'Intérieur?), Nouveaux partenariats, Logistique et maintenance, Sécurité des informations, Opérateurs et performance publique, Valeur ajoutée citoyen, ARS: la délicate articulation territoriale des services, RGPP, trois ans après: tout ça pour ça…, Pilotage analytique, Gestion des flux documentaires Transformer la fonction publique, Administration 2.0, administration déshumanisée? Comment mesurer la qualité des services publics? (De plus en plus utilisés dans la gestion des administrations, les indicateurs de performance et de qualité alimentent les tableaux de bord des hauts fonctionnaires. Encore faut-il savoir les interpréter et s'en servir à bon escient. Sans oublier leur objectif premier : l'amélioration de la qualité des services publics), Certification, un enjeu démocratique, Environnements numériques de travail, Développement durable, productivité, amélioration de la relation citoyen: la dématérialisation s’impose dans l’administration comme l’un des principaux leviers de progrès. Comment adapter son management et l’organisation de son service pour profiter du numérique? Quel sera le visage de la fonction publique dans dix ans? Comment travaillera le fonctionnaire de demain? Quelles seront ses nouvelles missions et compétences? (Rémunération, statut, recrutement, carrières, mobilité, le ministre du Travail et de la Fonction publique, Éric Woerth, se prêtera à un exercice de prospective pour dessiner les contours de l'agent public de 2020), Existe-t-il une méthode pour réformer? (Deux anciens Premiers ministres confrontent leurs manières de réformer. Y a-t-il une recette de droite et une recette de gauche? Faut-il réformer discrètement ou communiquer largement? La concertation est-elle vraiment la clé de la réussite? Jean-Pierre RAFFARIN, sénateur UMP de la Vienne, ancien Premier ministre, Michel ROCARD, ancien Premier ministre), Les fonctionnaires sont-ils gérés? Le développement durable devrait dorénavant commander toutes les décisions publiques. La prise en compte équilibrée du social, de l’économique et de l’environnemental devient la stratégie gagnante des organisations. Accélérer la transformation. Secteur public et développement durable, Protection Sociale: des clés pour réussir la transformation. Le Cloud Computing offre un potentiel considérable d’efficacité, d’économies et d’innovation pour l’État. Après le Mainframe, le Client-Serveur, le web et les architectures orientées services, découvrez le concept de Cloud Computing au travers d’exemples concrets pour l’État ou les collectivités locales. Pôle Emploi à l’épreuve de la crise, Partenariat Public Privé, Projets de services, LOLF: mère de toutes les réformes ou leurre managérial ? Le big bang des services déconcentrés.

Die Ernennung von drei Funktionen der politischen Entscheidungsträger Organisiert von öffentlichen Akteuren, die dritte Auflage des Meetings der Modernisierung des Staates wird 6, gehalten am 5. und 7. Juli 2010 in der Maison de la Chimie (Paris). Alle Akteure in der Modernisierung des Staates teilen sich in Debatten in 16, 37 Konferenzen, 4 Sitzungen, 2 x Frühstück und traditionelle Zeremonie Debatten Wins Modernisierung des Staates in der Nationalversammlung am 7. Juli (Online-Antrag). Program . Listings. Mehr...

22 mai 2010

Penser et parler son expérience pour sécuriser et réinventer son parcours

Rencontres nationales des MIFE, organisée par Intermife France en partenariat avec la MIFE du Calvados, Jeudi 10 et Vendredi 11 juin 2010  ESAM - CAEN.
Nota Bene jeudi 10:  Conférence de Marius ALLIOD, Sociologue, Enseignant, auteur de Une douleur de l’âme, (édition La Rumeur Libre, 2009) et Patrick LAUPIN, Ecrivain, Formateur, auteur de nombreux ouvrages notamment Le courage des oiseaux, (édition Le Bel Aujourd’hui, 1998).
Aujourd’hui, nous avons de nouveaux parcours de vie, où il faut s’engager personnellement dans des situations extrêmement nombreuses et hétérogènes. La capacité à agir par soi-même….est devenue une nécessité forte de la socialisation, nous rappelait récemment le sociologue Alain Ehrenberg.
La Guidance Professionnelle Personnalisée mise en œuvre par le réseau des MIFE permet de faire appel aux potentialités de chacun. Cette stratégie d’orientation éducative relève de problématiques philosophiques, éducatives, économiques et sociologiques.
Ces rencontres nationales, largement ouvertes aux acteurs de l’emploi, de l’insertion et de la formation, nous proposent d’approfondir les fondements de l’éducabilité permanente ainsi que d’approcher des pratiques d’accompagnement des personnes dans leur mobilité professionnelle, afin de sécuriser et de réinventer son parcours. Gaston PARAVY Président d’INTERMIFE France
Télécharger: le programme, le bulletin d'inscription et diverses infos pratiques (accès, réservations hotelières...).
National Conference of MIFE, organized by Intermife France in partnership with the MIFE Calvados, Thursday 10 and Friday, June 11, 2010 ESAM - CAEN.
Download: the program, the registration form and various useful information (access, hotel reservation...).
The Vocational Guidance Custom implementation of the network MIFE allow for an appeal to the potential of each. This strategy is education-oriented issues of philosophical, educational, economic and sociological. More...
22 mai 2010

Formation: les Français plus passifs que les autres Européens

http://pics.lesechos.fr/icons/logo.pngPar C.F. Les salariés français prennent moins d'initiatives que leurs homologues allemands, espagnols ou britanniques pour se former. Ils sont également moins ouverts aux pratiques innovantes du e-learning ou des « serious games ».
C'est sans doute un paradoxe français qui n'est guère flatteur. Alors que l'Hexagone peut se targuer d'avoir mis en place l'un des plus importants arsenaux législatifs d'Europe pour former les salariés (congé individuel de formation, droit individuel à la formation…), la France ne brille pas en la matière par rapport à ses voisins européens. Et que s'ils disposent de plus de cartes en main, les salariés français restent passifs, si l'on en croit l'étude que vient de publier le groupe de formation professionnelle Cegos.
Réalisée en mars dans quatre pays européens (France, Royaume-Uni, Espagne et Allemagne), cette enquête met en évidence un certain nombre de lacunes françaises. « Les Français sont ceux qui prennent le moins en main leur propre formation. Près du quart des Français non formés (22 %) considèrent qu'ils ne font tout simplement pas partie du plan de formation, alors que seuls 6 % des Allemands invoquent cette raison », résume Mathilde Bourdat, l'un des auteurs de cette étude. Une forme de passivité plus accentuée que chez leurs voisins, qui conduit les salariés français à ne pas s'impliquer dans leur formation ou tout du moins à ne pas envisager de sacrifier une partie de leur temps non-professionnel dans ce but. Alors que 76 % des Européens interrogés se déclarent prêts à se former hors du temps de travail, seulement 64 % des Français sont de cet avis. De même, si près d'un Européen sur deux (53 %) serait prêt à financer lui-même sa formation, on ne compte qu'un Français sur trois dans cet état d'esprit.
Souvent passifs, les salariés français semblent également moins ouverts que les autres aux techniques nouvelles de formations et continuent de privilégier la formation en salle commune. « Alors que les Espagnols et les Anglais pratiquent tout autant que nous la formation en salle, ils n'oublient pas de varier les modalités en y agrégeant des modules "e-learning", des classes virtuelles ou des "serious games". En France, aujourd'hui encore, peu de salariés ont la possibilité d'utiliser l'ensemble du panel formation pourtant existant », explique Laurent Reich, de Cegos.
La relative frilosité des Français est sans doute liée à la méconnaissance de ces techniques auxquelles les entreprises rechignent encore à faire appel. Difficile en effet de souhaiter recourir à une technique que l'on ne connaît pas.
Enfin, au-delà de la seule situation française, cette enquête bat en brèche une idée reçue : être salarié dans une grande entreprise n'est pas nécessairement un gage pour avoir plus de formation que dans une PME. Selon la Cegos, les entreprises de taille moyenne qui emploient entre 250 à 1.000 salariés forment 86 % de leur personnel, contre 71 % pour les entreprises de plus de 1.000 salariés.
http://pics.lesechos.fr/icons/logo.pngAl FC Los empleados franceses toman menos iniciativa que sus homólogos de Alemania, España y Gran Bretaña para la formación. También son menos abiertos a las prácticas innovadoras de e-learning o "juegos serios". Más información...
22 mai 2010

Université de Toulon: les décisions prononcées par la section disciplinaire

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau02.jpgCommuniqué - 21 mai 2010: Valérie Pécresse prend acte des décisions prononcées par la section disciplinaire de l'université Paris IV-Sorbonne concernant la mise en cause de l'équipe de direction de l'université du Sud-Toulon Var (USTV) dans les graves dysfonctionnements révélés par les deux missions de l'Inspection générale de l'éducation nationale de l'administration et de la recherche (IGAENR) et concernant l’inscription d’étudiants étrangers.
Cette section, composée d'enseignants-chercheurs et désignée par le Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche comme juridiction compétente vient de communiquer ces décisions au recteur ainsi qu'aux personnes intéressées : la révocation de la fonction publique a été prononcée à l’encontre de Laroussi Oueslati, président de l’USTV à la date d’engagement des poursuites avec l’interdiction définitive d’exercer toute fonction dans un établissement public ou privé; des interdictions d’exercer toute fonction d’enseignement supérieur et de recherche, respectivement de 3 et 1 ans, ont été décidées à l’encontre de Messieurs Sanz de Alba et Lucas, à l’époque des faits vice-présidents respectivement du conseil d’administration et du conseil des études et de la vie universitaire de l’université. Ces décisions juridictionnelles ont été assorties de l’exécution immédiate et entrent donc en vigueur immédiatement. Ces sanctions font suite à la procédure disciplinaire que la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche avait demandé au recteur de Nice, chancelier des universités, d’engager en octobre 2009 à l’encontre des intéressés. Valérie Pécresse formule le souhait que l'Université de Toulon puisse retrouver le plus rapidement possible un climat qui permette aux étudiants, aux enseignants-chercheurs, comme aux autres personnels de l'établissement de travailler dans les conditions de sérénité requises pour un travail de qualité.
http://www.lepost.fr/medias/www/1.0.331/img/header/logo-Le-Post.gifLaroussi Oueslati, le président suspendu depuis le 19 octobre de l’université de Toulon, a été révoqué, vendredi 21 mai, de la fonction publique par la section disciplinaire de l’université Paris-IV, a annoncé dans un communiqué le ministère de l’enseignement supérieur. Cette sanction, qui s’inscrit dans le cadre d’un trafic supposé de diplômes au bénéfice d’étudiants chinois, est assortie d’une interdiction à vie d’exercer toute fonction d’enseignement supérieur et de recherche. Quant à Yves Lucas, à l’époque vice-président du conseil des études et de la vie universitaire, il a été suspendu pour un an de toute fonction d’enseignement supérieur et de recherche.
Laroussi Oueslati est né le 25 septembre 1960 à Carthage (Tunisie). Il est conseiller régional PRG de Provence-Alpes-Côte d’Azur depuis mars 2004 et conseiller municipal à Toulon depuis octobre 2004 après l’avoir déjà été de 1995 à 2001. Il a été vice-président de l’université du Sud-Toulon-Var de 2002 à 2007 et président de février 2007 jusqu’à sa suspension provisoire par le ministre de l’éducation en octobre 2009 suite à des entraves lors d’une enquête administrative sur la délivrance de diplômes à des étudiants étrangers. Il démissionne de ce poste le 6 novembre 2009.
C’est suite aux suspicions de délivrance de diplômes de complaisance à des étudiants chinois révélées en avril 2009, qu’il avait été directement mis en cause par un rapport de la mission de l’Inspection générale de l’administration de l’Éducation nationale et de la recherche demandé par le ministre de l’éducation Valérie Pécresse. Il lui est reproché d’avoir créé une commission de sélection des candidats étrangers en concurrence directe avec les commissions pédagogiques de chacune des facultés de l’université.
Le 19 octobre 2009, suite à la publication du rapport complémentaire, intitulé « Présomptions de trafic de diplômes par des étudiants chinois à l’université du Sud Toulon-Var », de l’Inspection générale chargée d’enquêter sur ces irrégularités, il est suspendu de ses fonctions pour une durée de six mois pour avoir, avec son équipe de direction, « entravé l’enquête administrative, avec des mises à l’écart, pressions, intimidations et menaces de représailles à l’encontre d’enseignants-chercheurs et de personnels de l’université et une saisine de documents qui peut laisser supposer une tentative de destruction de preuves . Il réfute ces accusations et est remplacé par le recteur de l’académie de Nice, Christian Nique. Philippe Tchatmitchian, nommé administrateur provisoire de l’USTV par le ministère de l’Education prend ensuite le relais de Christian Nique avec pour mission de « rétablir la sérénité ». La section disciplinaire de l’université de Paris IV-Sorbonne, devant laquelle avait été renvoyée l’affaire, a prononcé aujourd’hui sa révocation de la fonction publique avec interdiction définitive d’exercer toute fonction dans un établissement public ou privé. Ces « décisions juridictionnelles ont été assorties de l’exécution immédiate et entrent donc en vigueur immédiatement », explique le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche.
En 1993, il adhère au Parti radical de gauche où il est membre du bureau national et du comité directeur. Il est candidat de la Gauche unie dans la deuxième circonscription du Var aux élections législatives de 1993. Il est ensuite candidat sur la liste Énergie radicale aux élections européennes de 1994 conduite par Bernard Tapie qui recueille 13,68 % des voix.
En 1995, il devient conseiller municipal à Toulon alors que Jean-Marie Le Chevallier (FN) est élu maire de la ville. A l’occasion des célébrations du 14 juillet 1995 et de la présence de Jean Marie Le Pen au défilé organisé à Toulon, il répète son engagement et son combat contre le Front national qu’il compte mener par des « actions militantes sur le terrain ». Il est réélu conseiller municipal en 2001 mais il échoue à se faire élire conseiller général du Canton de Toulon-4. En 2004, il est élu conseiller régional de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur sur la liste conduite par Michel Vauzelle, dans la section départementale du Var. Il est membre du Groupe Socialiste, Radical, Citoyen et Apparentés et est délégué aux nouvelles technologies de l’information et de la communication. Il est aussi vice-président de la commission Développement économique et Relations internationales. En 2007, toujours sous les couleurs du Parti radical de gauche, il se présente pour la première en son nom aux élections législatives dans la septième circonscription du Var. Il obtient 13,13 % des voies et termine en deuxième position, derrière Jean-Sébastien Vialatte.
http://www.lepost.fr/medias/www/1.0.331/img/header/logo-Le-Post.gifLaroussi Oueslati, tổng thống bị đình chỉ kể từ 19 tháng 10 Đại học Toulon, đã được thu hồi thứ sáu tháng năm 21, các dịch vụ công qua phần kỷ luật của Đại học Paris IV, cho biết trong một tuyên bố của Bộ giáo dục đại học. Xử phạt này, là một phần của một độ giao thông bị cáo buộc vì lợi ích của sinh viên Trung Quốc, mang một lệnh cấm suốt đời để giữ bất kỳ văn phòng của giáo dục đại học và nghiên cứu.
Ông là Cố vấn khu vực PRG Provence-Alpes-Cote d'Azur kể từ Tháng Ba 2004 và hội viên cao niên ở Toulon trong tháng mười năm 2004 sau khi đã được vào 1995-2001. Ông là phó chủ tịch của Đại học Nam Toulon-Var 2002-2007 và tổng thống từ tháng hai năm 2007 cho đến khi ông đình chỉ tạm thời do Bộ trưởng Bộ Giáo dục trong tháng 10 năm 2009 do các rào cản trong một cuộc điều tra kiểm soát hành chính các cấp bằng tốt nghiệp cho sinh viên nước ngoài. Ông đã từ chức sau 06 Tháng 11 2009. More...
21 mai 2010

AERES: la FC à Paris-Est Marne-la-Vallée, l' INALCO, La Réunion et Paris 1

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCes rapports sont de février, mars et avril 2010: Paris-Est Marne-la-ValléeINALCO, La Réunion et Paris 1.
Voici les passages concernant la Formation Continue.
Paris-Est Marne-la-Vallée: la Formation Continue n'est pas dans la Table des Matières.
L’université s’appuie également sur son service de formation continue et de VAE, qui représente un chiffre d’affaires de 1,6 M€, avec quelque 700 stagiaires, et, en VAE, autour de 140 demandes par an, 50 dossiers constitués, et une vingtaine de jurys avec validation complète. La formation est à ce jour essentiellement diplômante, le service s’inscrivant dans une démarche d’aide aux composantes. Mais l’université entend développer également une formation qualifiante à travers des modules de 20 heures d’enseignement à distance, avec en perspective, une articulation entre formation qualifiante et formation diplômante. L’établissement cherche aussi à articuler la démarche de VAE aboutissant à des validations partielles avec celle de reprise d’études, en proposant des cadres de formation adaptés à ces publics.
L’IUT dispose d’un mode de fonctionnement et de procédures spécifiques concernant la formation continue (140 étudiants) et la VAE (une cinquantaine d’inscrits, une quinzaine de validations). Il a en outre mis en place un diplôme universitaire en relation avec la mission locale et le conseil régional, ainsi qu’un DUT “en un an”, dans le domaine de la gestion des ressources humaines. Il travaille enfin, comme les autres composantes, avec l’AFPA (p.18-19).
VI – Les relations extérieures
La formation continue joue un rôle prépondérant dans ce secteur, sous la responsabilité de la vice-présidence “enseignements et professionnalisation” (ce qui permet un pilotage commun de la formation initiale et de la formation continue). Le service des relations entreprises enseignement est un service pilote qui gère les activités de formation continue de toutes les composantes (hors IUT), la VAE, l’apprentissage et les relations avec les entreprises (p.31).
I – Les points forts: Le développement important des formations professionnalisantes, appuyé sur l’apprentissage et la formation continue (p.33).
INALCO: la Formation Continue n'est pas dans la Table des Matières.
I – Les instances de décision
La formation continue, organisée en service commun, est pilotée par un enseignant-chercheur depuis 1996 (p.7).
II – Un déficit regrettable des ressources humaines et financières
L’établissement peut toutefois agir sur les causes internes qui contribuent à ce déficit: l’insuffisance des ressources propres de l’institut (26%) par rapport au financement de l’État (74%). Une politique plus ambitieuse en matière de formation continue (p.10).
I – Le pilotage de l’offre de formation
L’équipe qui pilote l’offre de formation associe au président de la Commission des études, qui se trouve être aussi le vice-président statutaire de l’INALCO, les responsables des niveaux licence et master, ainsi que de l’école doctorale, et la directrice du Service de formation continue, ce qui témoigne de la volonté de la direction de prendre en compte les milieux socio-professionnels dans la politique de formation.
La direction souhaite développer la formation tout au long de la vie au sein de l’établissement. Les équipes de formation n’ont pas encore intégré cette dimension dans leur offre. C’est toujours le Service de formation continue qui élabore l’offre en partenariat avec les milieux économiques. La validation des acquis de l’expérience a fait l’objet d’une concertation avec les universités d’Île de France.
L’INALCO vient de mettre en place un observatoire de la vie étudiante pour prendre en compte les résultats des étudiants et des enquêtes d’insertion professionnelle dans le pilotage des formations, mais il manque encore de système d’interprétation et de critères d’évaluation. La direction de l’INALCO met en place une politique volontariste pour y arriver, en s’appuyant sur l’expertise acquise par le Service de formation continue (p.15).
En particulier, les milieux socio-économiques bénéficient d’une information adaptée sur la formation continue, même s’il manque la présentation des champs d’application professionnels et des métiers en fonction des cursus, et du supplément au diplôme en relation avec les compétences acquises.
Un guichet unique gère l’ensemble des dispositifs d’accueil des étudiants jusqu’à l’insertion professionnelle. Le Bureau des stages et emplois, récemment créé et rattaché au Service de la formation continue, accompagne les étudiants en assurant auprès d’eux la diffusion des offres de stage et d’emploi, et en organisant des rencontres professionnelles avec des entreprises et divers organismes. Il participe également à l’orientation des étudiants. (p.16).
III – Les recommandations
Augmenter les ressources propres de l’INALCO en menant une politique plus offensive (formation continue, contrats de recherche, mécénat…) ;
Mettre en place un dispositif d’auto-évaluation et une culture de projet, en s’appuyant sur l’expertise déjà acquise (Service de formation continue).
La Réunion: La Stratégie en matière de formation: IV – La formation continue de l’U.R
IV – La formation continue de l’U.R
Le service de formation permanente de l’U.R (SUFP), fonctionnant depuis l’origine comme un véritable pôle d’insertion professionnelle que PROFIL a simplement élargi à la formation initiale. Il continue de montrer l’exemple par l’ampleur et la qualité de ses réalisations tant à la Réunion même que dans les pays de l’Océan indien.
Dans la plupart des formations de niveau ou de type licence, les professionnels interviennent de manière significative, bien au-delà des pourcentages exigés par les directives administratives. De cette collaboration découle une reconnaissance des formations et des diplômes qui contribue à une meilleure insertion professionnelle locale; des conventions sont établies avec les syndicats et les associations de l’île, la concurrence potentielle avec les autres organismes de formation (CCI, CNAM) se réglant positivement par des partenariats qui permettent de structurer l’offre autant qu’il est possible en fonction du marché de l’emploi. La réactivité à laquelle est parvenu le SUPP en matière d’ouverture et de fermeture est exemplaire.
Le SUFP participe d’autre part, et de façon importante, aux relations internationales de l’U.R; par un enseignement à distance mis en place ces dernières années à l’intention de publics très variés du sud-ouest de l’Océan indien qui contribuent certes à faire vivre des formations dont l’effectif réunionnais n’est jamais très élevé mais qui bénéficient surtout de formations auxquelles ils n’auraient pas accès autrement : la FOAD fonctionne maintenant de façon très satisfaisante avec des cours interactifs en temps réel, et l’outil informatique permet le contrôle et le suivi des étudiants. L’objectif du SUFP est de développer l’enseignement à distance, et des serveurs miroirs sont en cours d’installation dans les îles voisines pour améliorer la connectique ; le service collabore également avec des universités de métropole pour créer des nouvelles licences professionnelles spécifiques, et cette démarche s’étend dans l’Océan indien où de nouvelles formations sont mises en place avec un pilotage de la formation continue de l’U.R : formations spécifiques liées aux maladies émergentes (à Maurice et Mayotte), formations juridiques (Cour suprême de Madagascar). Au total, ce sont près de 1000 personnes qui se sont portées candidat à ce type de formations en 2007-2008.
L’architecture de l’offre de formation continue de l’U.R est riche : outre le classique diplôme d’accès aux études universitaires (DAUE) elle comporte 17 diplômes universitaires généraux (5 licences et 3 Masters 1 dispensés à Mayotte, 9 Masters 2) 33 DU, 4 Licences professionnelles en alternance auxquelles viendra s’ajouter prochainement une formation par apprentissage dont le SUFP fait une priorité ; sans compter la VAE —elle fonctionne en autofinancement complet faute de poste dédié— qui s’applique aux cinq licences générales déjà mentionnées, mais aussi à 5 licences spécifiques (bientôt une sixième) et trois Masters spécifiques (bientôt quatre) en attendant un DUT en 2010.
Le service de formation continue de l'université de la Réunion, remarquablement dirigé, comprend 15 personnes réparties en quatre départements ; 150 enseignants de l'U.R y collaborent et son chiffre d'affaires atteint environ 1 800 000 euros en 2008 dont 25% seulement de recettes publiques extérieures en provenance de la Région (20%) ou de l'État (5%), l'essentiel des produits émanant des usagers individuels payants (30%) et des conventions avec les entreprises (25%) (p.16-17).
Paris 1 Panthéon Sorbonne: Stratégie en matière de formation: V – La formation continue
La diversité des actions mises en place, comme les effectifs concernés, montrent que la formation continue contribue à la notoriété de l’université dans des domaines professionnels très spécialisés et, partant, à assurer des débouchés professionnels aux étudiants en formation initiale.
La formation continue est prise en charge à Paris 1 par un centre d’éducation permanente, mis en place en 1972 au lendemain de la loi sur l’Education Permanente de 1971. Initialement destiné à la formation des personnels de l’université, ce service a progressivement mis en place une offre de formation continue à disposition de “clients” externes à l’université : particuliers (salariés ou chômeurs), entreprises ou administrations. 2 600 personnes (dont 85 % originaires du secteur privé) suivent tous les ans des formations organisées dans les disciplines juridiques, économiques, sanitaires, sociales et dans le domaine des ressources humaines. Une partie des possibilités offertes sont intégrées dans des cursus nationaux, en licence ou master. Une autre partie des diplômes décernés sont des diplômes d’université, spécialisés pour répondre aux attentes de professions : management d’établissements et services aux personnes âgées, responsables mutualistes (en liaison avec la mutualité française), ergonomie et écologie humaine, technicien supérieur en gestion RH, responsable en ingénierie de formation, droit du sport (en liaison avec les fédérations sportives), immobilier d’entreprise et droit des entreprises en difficulté (avec la chambre des syndics de faillite).
Dans quelques cas, des formations diplômantes sont organisées à la demande d’entreprises ou d’administrations pour former des membres de leur personnel dans tel ou tel domaine, à partir d’une sélection contrôlée par Paris 1. On peut citer à titre d’exemple des formations au Management de cadres de la filiale sud-africaine d’Areva ou un master Droit des affaires pour former des officiers français.
Le centre propose également aux salariés et demandeurs d’emploi un accueil-orientation pour la reprise d’études, avec une aide à la constitution des dossiers nécessaires aux congés formation ou au plan d’aide au retour à l’emploi (PARE) ainsi qu’un accompagnement au processus de VAE (validation des acquis de l’expérience).
L’activité s’autofinance totalement. Elle mériterait probablement une réflexion sur l’évolution de son modèle économique : les comparaisons faites par le service montrent que les coûts facturés sont compétitifs, et que l’université ne fait aujourd’hui aucun bénéfice sur cette activité, qui serait réalisée à prix coûtant. Si ce choix est logique pour des actions de formation continue, destinées à des particuliers, les formations réalisées à la demande d’entreprises pourraient être une source de financement supplémentaire pour l’université. Il serait intéressant qu’une réflexion commune aux UFR les plus impliquées soit conduite sur ce que pourrait être un plan de croissance dans ce domaine, intégrant un objectif bénéficiaire de cette activité, à laquelle l’équipe dédiée paraît prête (et demandeuse).

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngThese reports are February, March and April 2010: Paris-Est Marne-la-Vallee , INALCO , Reunion and Paris 1 .
Here are the passages concerning Continuing Education. More...

21 mai 2010

AERES: la FC à l'EHESS, l'EPHE, Lille 3, Evry et Versailles – Saint-Quentin

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCes rapports sont de décembre 2009 et janvier 2010: EHESS, EPHE, Lille3, Evry, Versailles – Saint-Quentin.
Voici les passages concernant la Formation Continue.
EHESS (l'École des Hautes Études en Sciences Sociales): la Formation Continue n'est pas dans la Table des Matières.
La formation continue est aussi un champ qu’elle investit (p.5).
Une quatrième catégorie de publics est constituée au sein des cercles de formation. Ce public s’apparente à un public de formation continue traditionnel, dans la mesure où ces cercles répondent à des demandes d’institutions, d’organisations, de ministères sur la base de l’expertise de l’école. Ces cercles de formation ont fait l’objet de débats en interne, car ils s’apparentent à une marchandisation de la recherche de l’EHESS (p.14).
EPHE (École Pratique des Hautes Études): Table des matières - La stratégie en matière de formation, VI – La formation continue.
VI – La formation continue
Par sa nature, l’EPHE est, en grande partie, un établissement de formation continue mais les développements institutionnels récents ont eu comme résultat qu’aussi bien en SVT qu’en SR la formation continue est devenue non seulement une source de revenus importante pour l’école mais aussi un élément de valorisation qui ajoute indéniablement à son prestige. Les SHP, en revanche, n’ont pas relevé ce défi, à tout le moins de manière suffisante. Alors qu’en SR, on identifie un réel succès en nombre d’inscriptions (400), en SVT environ 80 étudiants par année s’inscrivent. Les offres de formation continue de la section des sciences religieuses et de l’IESR ont été réunies en un programme unique, l’IESR jouant le rôle moteur. En plus d’une dizaine de cycles de conférences et de journées de formations grand public, l’IESR, conformément aux missions qui sont définies dans ses statuts, a développé des activités de formation destinées aux enseignants du secondaire ainsi qu’à d’autres agents publics (infirmiers, policiers, personnels engagés dans des services pénitentiaires, travailleurs sociaux, etc.). Ainsi, à partir de 2006, des formations allant d’une à quatre journées par an ont été proposées régulièrement dans les IUFM et les académies.
Ont été touchés, en 2009, les IUFM de Caen, Créteil, Lille, Nantes, Paris, Reims et les académies de Bordeaux, Orléans, Paris, Reims. Plus modestement, des programmes ont été initiés à destination d’autres agents publics en collaboration avec d’autres ministères que celui de l’Éducation nationale. L’objectif est de répartir ces efforts de formation pour moitié à destination d’enseignants et pour moitié à destination d’autres agents publics. Au regard des rapports d’activités, le succès des entreprises engagées est important. Il faut cependant souligner la responsabilité nationale et pas seulement régionale confiée à l’IESR par ses statuts. Ainsi, si les enseignants de l’EPHE peuvent tout naturellement intervenir dans la région parisienne, il n’est pas possible de leur demander de sillonner de manière systématique tout le territoire français. L’IESR l’a très bien compris et a cherché, dès le début, à mobiliser dans chaque région des ressources locales en créant des liens avec des universitaires compétents dans des universités implantées dans ces régions. Reste que les moyens à disposition de l’IESR sont insuffisants pour atteindre de manière équivalente toutes les régions de France. Des collaborateurs supplémentaires seraient nécessaires pour assurer le contact et les tâches de coordination avec chaque région (p.17-18).
I – Les points forts: La qualité et l’attractivité de l’offre de formation, notamment en matière de formation continue et de
formation tout au long de la vie (p.33).
Lille 3: Table des matières - La stratégie en matière de formation, V – La formation continue.
V – La formation continue
Les activités de formation continue de Lille 3 reposent sur plusieurs structures: le Service commun de formation continue et d’éducation permanente (FCEP); le Centre régional de formation aux carrières des bibliothèques MédiaLille, qui est un département spécialisé du précédent; le Service universitaire de validation des acquis et des compétences (SUVAC); le Service d’enseignement à distance (SEAD). Par ailleurs, l’IUT et le CFMI développent leur activité de façon autonome.
Le FCEP comprend 25 personnes, effectif considéré comme insuffisant. Son déménagement à Villeneuve d’Ascq rapprochera les acteurs "techniques" des formateurs. Le budget du service, légèrement excédentaire, provient de trois types de financement, chacun pour un tiers : la Région, les entreprises et les inscriptions individuelles. Ces trois sources assurent le financement des locaux et du personnel contractuel, l’université mettant, quant à elle, à disposition les dix personnels titulaires. En 2007-2008, il y avait 2 117 inscrits pour environ 150 000 heures/stagiaires. En trois ans, on constate une légère diminution des effectifs ; l’introduction du Droit individuel à la formation (DIF) n’a pas eu l’effet escompté.
Si l’offre de formation couvre tout le champ de la formation initiale, les formations les plus demandées sont le DAEU, les formations en langues, les préparations aux concours administratifs et quelques DU. Lille 3 étant une "fac de lettres", selon le leitmotiv qui revient souvent, elle souffre d’un déficit d’image. Il reste que de nombreux diplômes propres à l’université dans le domaine des arts et de la culture ont été développés et sont inscrits au répertoire national des certifications. Le catalogue, bien fourni, est attractif.
La Validation des acquis de l’expérience (VAE) assurée par le SUVAC, mis en place en 1998, semble désormais bien acceptée par le corps enseignant. Grâce à l’action de la présidence, les enseignants ont compris que les diplômes n’étaient pas bradés et s’impliquent de plus en plus. Sur 2 135 demandes reçues depuis 2002 et 660 dossiers déposés, seuls 338 dossiers ont été jugés recevables, ce qui représente une déperdition importante. Le SUVAC ne souhaite pas assurer la validation des acquis du personnel en interne.
Quant au SEAD, service de taille moyenne (1 700 inscrits), il propose neuf licences et un master. Il est le seul service d’enseignement à distance de France à offrir un enseignement en histoire de l’art. Il a beaucoup de mal à trouver des enseignants qui acceptent d’élaborer des cours en ligne. Il n’est pas habilité, par ailleurs, à proposer des enseignements, l’initiative de l’inscription d’une formation dans son catalogue revenant aux UFR ou au président: ainsi, les demandes de cours en psychologie ne sont pas satisfaites, l’UFR ne souhaitant pas en ouvrir.
La restructuration de cet ensemble autour d’un pôle de Formation tout au long de la vie (FTLV), telle qu’elle est envisagée par l’université, lui apporterait une meilleure lisibilité. Mais le bilan du contrat quadriennal mentionne que l’établissement peine à développer une véritable dynamique de formation tout au long de la vie. La modularisation des formations, qui favoriserait le rapprochement FI-FC, est encore embryonnaire.
À cet égard, la mutualisation des pratiques entre les universités lilloises est de nature à améliorer le fonctionnement et l’efficacité de la formation continue. L’effort de réorganisation entrepris sur le site de Lille ne pourra bénéficier à Lille 3 que si l’université y adhère résolument et opère en interne les restructurations nécessaires à une réelle intégration (p.15).
Evry: Table des matières - La stratégie en matière de formation, II – Une politique de formation par l’apprentissage et de formation continue performante, 1-Structuration du service, 2-Des bilans des formations en alternance et continue positifs, 3-Validation des acquis par l'expérience (VAE) et validation des acquis personnels et professionnels (VAPP), 4-Développement de la VAE/VAPP, 5-Analyse du service commun de formation continue.
II – Une politique de formation par l’apprentissage et de formation continue performante
Les formations continues ou en apprentissage font étroitement partie de la genèse de l’UEVE dans son bassin d’influence. Ainsi est-il proposé plus de 50 formations en apprentissage (>10% étudiants inscrits) et l’université a développé une cellule de validation des acquis pour l’ensemble des formations. L’organisation est partagée sur 3 structures gérant chacune leur volet opérationnel, UFR, IUT et ENSIEE, le service commun de formation continue (SCFC) ayant néanmoins la main sur toutes les activités de VAE.
1 Structuration du service
L’accompagnement en personnel est de 2 IATOSS, 2 contractuels, 1 poste gagé IUT. Le budget est de l’ordre de 7M€ et les recettes du même ordre de grandeur. Avec plus de 1 000 apprentis, l’UEVE se place presque au niveau de l’université de Marne-la–Vallée (1 400 environ). Le service se décompose en 4 structures opérationnelles : - ingénierie pédagogique - formation continue et stagiaire avec suivi pédagogique - cellule gestionnaire - VAE/VAPP. Un CFA EVE (Évry-Val-d’Essonne) certifié ISO 9001 (hors des murs) gère 90 % des apprentis de l’UEVE; deux autres CFA sont partenaires: AFIA (association pour la formation d’informaticiens par l’apprentissage) et une MIAGE. AFI24 (master 2 chimie des matériaux).
Ce CFA-EVE répond aux besoins du commerce, de la gestion (financière, RH, logistique, ...) et de l’Industrie (bâtiments et productique). De plus des activités transverses (communication, démarche qualité, réseaux informatiques) sont développées ainsi que le secteur droit et "traduction spécialisée" ; il est aussi certifié ISO 9001, et le suivi est accessible par le réseau des acteurs.
2 Des bilans des formations en alternance et continue positifs
Le taux de réussite en FA est de plus de 90% et celui en FC est de plus de 70% (hors DAEU 20-30%). 80% des diplômés sont intégrés professionnellement. Les domaines "sciences économiques et gestion, et sciences sociales et humaines" regroupent 75 % des apprentis. La stagnation observée depuis 2-3 ans proviendrait du passage au LMD, ce type de parcours n’étant pas encore familier et aux apprentis et aux entreprises concernées.
3 Validation des acquis par l’expérience (VAE) et validation des acquis personnels etprofessionnels (VAPP).
Le fonctionnement de cette cellule est caractérisé par un accompagnement de chaque candidat VAE (1 accompagnateur et 2 référents du diplôme concerné) pour : (i) le questionnement sur le projet – avec proposition éventuelle de parcours mixte formation continue/VAE, (ii) l’identification et la formulation des acquis individuels et l’analyse de leur cohérence avec le diplôme, (iii) la démarche de constitution du dossier individuel et enfin, (iv) le passage en jury formé d’enseignants et de professionnels. Les diplômes les plus demandés sont ceux de : (i) commerce et vente, (ii) informatique et ce, surtout en licence professionnelle. Enfin une ingénieure d’études contractuelle a été engagée en juin 2007 pour l’accompagnement des candidats.
Durant chacune des 3 dernières années: -sur environ 100 dossiers de VAPP déposés, 95 % ont été acceptés; -sur environ 25 dossiers de VAE passés en jury, 96 % ont obtenu une validation totale.
4 Développements de la VAE/VAPP
Au travers du PRES UniverSud Paris pour la réalisation d’une plateforme d’information et d’accompagnement à distance dont les objectifs sont : (i) informations des candidats et des entreprises, (ii) accompagnement à distance de personnes éloignées, indisponibles ou à mobilité réduite, (iii) formation de référents VAE/VAPP des diplômes et membres du jury.
5 Analyse du service commun de formation continue
Indiscutablement ce service fonctionne d’excellente façon avec une démarche qualité déclinée dans le triptyque: diplôme - métier - compétences. Le service est constamment en auto-évaluation mais il lui faudra encore résoudre le problème du taux de réussite en DAEU de 30 %. Il convient de pousser aussi loin que possible la mutualisation dans le cadre du PRES UniverSud Paris. Enfin il lui faudra développer les liens avec la plate-forme d’accès à l’emploi, et surtout, développer une passerelle de formation entre la CCI de l’Essonne et son CFA "faculté des métiers".
Versailles – Saint-Quentin: Table des matières - La stratégie en matière de formation, IV – La formation continue.
IV – La formation continue
La formation continue (FC) est regroupée dans un service commun depuis 1998. Interlocuteur de nombreux services et composantes de l’université, il est composé de 17 personnes, parmi lesquelles 12 sont autofinancées. L’offre proposée s’appuie beaucoup sur les compétences internes à l’établissement, avec un nombre limité d’intervenants extérieurs. Une convention avec le CEREL permet d’assurer la FC en langues. 56 500 heures ont été dispensées en 2008 auprès de 2 000 stagiaires, pour un chiffre d’affaires de 1,7 M€. Les recettes sont partagées entre le niveau central (20 %), le service (20 %) et les composantes (60 %). La formation médicale continue, partie intégrante du service, s’appuie sur 8 diplômes universitaires et 12 diplômes interuniversitaires.
Les projets portent sur la mise en oeuvre d’une formation qualifiante de courte durée et le développement du droit individuel à la formation (DIF) en interne, avec un affichage de croissance "prudente" de la part de son directeur. Une meilleure communication sera assurée par la création de personnes ressources dans les composantes ("antenne FC"). Partant d’un mode de fonctionnement centré sur la demande, le service évolue avec l’élaboration d’un catalogue. Il fonctionne avec un portefeuille d’une centaine d’entreprises des Yvelines. Parmi les objectifs, figure celui d’une certification dans le cadre européen.
La VAE (Valorisation des acquis de l’expérience) est intégrée au Service de formation continue, qui est chargé de son développement au sein de l’université. 60 dossiers VAE ont été déposés en 2008 (44 en 2005) et 21 diplômes obtenus (36 en 2005), ce qui constitue un bon résultat. Une plateforme commune de VAE, partagée au sein du PRES entre Paris-Sud 11, l’ENS Cachan, l’Université d’Évry et l’UVSQ, et accessible via un portail WEB unique, est en cours de réalisation. Son développement s’accompagne de la réalisation d’une "charte qualité VAE UniverSud Paris", qui décrira précisément les engagements pris par les établissements pour accompagner le candidat.
Le Service de formation continue de l’UVSQ dispose d’une expérience certaine. Néanmoins, le chiffre d’affaires n’est pas en rapport avec le potentiel humain du service. Il est recommandé de sortir d’une logique de développement "prudent" pour une démarche active de prospection interne et externe ; le doublement du chiffre d’affaires sur la durée du contrat 2010-2013 (VAE comprise) pourrait être un objectif affiché. Un bâtiment dédié à la formation continue serait utile pour conforter son développement et sa visibilité régionale (p.17).
Le développement des relations avec le tissu des PME/PMI permettrait de mieux identifier les besoins de formation continue et de VAE, de développer les offres de stages pour les étudiants, quelles que soient leurs spécialités, et d’augmenter l’activité du secteur formation continue de l’UVSQ, qui cherche des relais de croissance (p.26).
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngThese reports are in December 2009 and January 2010: EHESS, EPHE, Lille3, Evry, Versailles - Saint-Quentin .
Here the passages concerning Continuing Education.
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21 mai 2010

AERES: la FC à Valenciennes, Lille 1, Lille 2, Artois et à l'ENC

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCes rapports sont d'octobre et novembre 2009: Valenciennes Hainaut-Cambrésis, Lille1, Lille2, Artois, Ecole Nationale des Chartes.
Voici les passages concernant la Formation Continue.
Valenciennes Hainaut-Cambrésis: Table des matières - La stratégie en matière de formation, III – La formation continue.
III – La formation continue
À l’UVHC, le développement de la formation continue s’est effectué en cohérence avec son orientation stratégique de professionnalisation, son environnement socio-économique et son souci de l’insertion. En moyenne près de 2 800 "auditeurs" sont inscrits annuellement, dont 30 % en formation diplômante (59 % de demandeurs d’emploi, 19 % de salariés) pour un volume de 380 000 heures stagiaires. La formation continue diplômante L et M est assurée par les composantes. Elle relève pour les autres formations d’une structure dédiée, le CEPPES (Centre d’éducation permanente et de la promotion économique et sociale) placée sous l’autorité du VP formation qui dispose de 24 personnes (dont 5 enseignants) et doté d’un bâtiment ("Le Moulin") qui lui est propre. La formation continue comprend notamment un DAEU, la préparation des concours notamment d’infirmières, la formation de formateurs d’adultes…
À l’initiative de l’association SYNEO, dont l’UVHC est partenaire, et qui a pour but de "Concilier et promouvoir des modes de développement durable favorables à la formation, la compétitivité, la citoyenneté et à l’emploi", un recensement, qui concerne tout ce qui se fait dans ce domaine porteur d’emploi et correspondant à une forte demande, est en cours. Un master dédié au développement local et à l’économie solidaire (DLES) essentiellement orienté vers la formation continue et la validation des acquis professionnels présente d’excellentes performances en termes d’insertion professionnelle (p.12-13).
Lille1: Table des matières - La stratégie en matière de formation, I – Le pilotage de l’offre de formation, 3 Formation continue et formation tout au long de la vie
À côté d’une large offre en formation initiale, l’USTL se caractérise par une forte tradition de formation continue. Elle réalise 10% de l’activité nationale dans ce domaine (p.5).
3 Formation continue et formation tout au long de la vie
Les ressources liées à l’activité de formation continue (environ 10800000 €) représentent 15 % du budget de l’université plaçant celle-ci en tête des universités françaises. 45% des ressources proviennent des pouvoirs publics, 33% des entreprises, 15% des OPCA et le reste représente la contribution des particuliers. Le nombre de stagiaires relevant d’un dispositif d’aide ou demandeurs d’emploi (5776) représente la moitié des stagiaires accueillis alors que 4995 sont issus des entreprises et le reste (env. 1300) sont des individuels. Un tiers des stagiaires préparent un diplôme national et 3 formations sont organisées à distance.
La formation continue est pilotée par le SUDES, service commun. Celui-ci harmonise l’activité de formation continue au sein de l’université, met en cohérence la réponse de l’université avec la demande extérieure, pilote la validation des acquis et coordonne les négociations de conventions et définit les règles communes de formation et de tarification. Toutes les formations sont mises en oeuvre au sein des unités (UFR, IUT et écoles internes). L’IAE pilote ses propres actions de formation continue de même que l’IUT pour un petit nombre.
Un comité paritaire d’orientation stratégique comprenant des représentants de l’université, des collectivités locales, des organisations patronales, OPCA et branches permet à l’université d’être à l’écoute des donneurs d’ordre en matière de formation continue. L’Université de Lille, qui fut pionnière dans le domaine de la formation continue puisqu’elle en proposait avant la loi de 1971, a eu diverses organisations qui sont à l’origine de la coexistence de plusieurs entités dans le domaine.
Le CUEEP, institut interne qui était service unique jusqu’en 1986, s’est vu retirer son rôle de pilote au profit du service commun SUDES. Le CUEEP conserve la maîtrise des actions en sciences de l’éducation, de celles de niveau IV, V et VI et de la préparation au DAEU pour lesquelles les ressources sont presque essentiellement des subventions qui transitent par le SUDES (qui effectue un prélèvement de 8%). L’évolution de la nature des subventions et de leur montant engendre un déficit structurel du CUEEP qui pèse sur le budget de l’université (malgré des diminutions de charges, 150 contractuels restent rémunérés sur ressources propres du CUEEP). Même si l’université veut utiliser le CUEPP pour la mise en oeuvre du PPP (Projet personnel et professionnel le déficit structurel du CUEEP devra être résorbé. De plus, le projet de la création de l’Université de Lille milite pour que l’USTL mette en chantier rapidement une restructuration de la formation continue.
La validation des acquis concerne la validation d’acquis en vue de l’inscription à une formation au sens du décret de 1985 et celle en application du dispositif VAE. Dans le premier cas l’université a traité 1226 dossiers et accordé 1079 validations au cours de la dernière année. Dans le second cas elle a traité 307 demandes et accordé 45 validations totales représentant 10 % des VAE accordées par toutes les universités de même typologie et 261 validations partielles représentant 1/3 de celles accordées par les universités de même typologie. Pionnière en matière de formation continue et de validation des acquis, l’université souhaite capitaliser cette expérience pour constituer un pôle de formation tout au long de la vie. La mise en place du PPP au sein des parcours va dans ce sens tout comme la restructuration de services communs en cours (voir plus loin). Cependant l’université devra veiller à rapprocher ses problématiques en matière de formation continue et de formation initiale et s’attacher à donner une meilleure lisibilité aux services communs concernés (p.16-17).
Lille2: Table des matières - La stratégie en matière de formation, Le pilotage de l’offre de formation, III – La formation continue.
III – La formation continue
L’organisation de la formation continue à l’Université Lille 2 est très opaque en raison de l’existence d’un double système. En effet, trois UFR et trois instituts développent en leur sein, de manière indépendante, des activités de formation continue. Les autres UFR et instituts fonctionnent avec le service commun de formation continue de l’université qui se comporte de surcroît lui-même comme un centre de formation puisqu’il est responsable de fait d’un DEUST (cohabilité avec deux autres universités) et d’une licence professionnelle.
Si le CEVU est sollicité pour donner son avis sur les diplômes ouverts à la formation continue, la politique de formation continue n’est pas examinée par cette instance. Notons que ce service commun fait actuellement apparaître un déficit de fonctionnement s’élevant à 250 000 euros et que l’absence de moyens financiers délégués, pour subvenir aux dépenses des formations habilitées dont il a la gestion, peut expliquer une bonne partie de ce déficit. Pour l’ensemble des dossiers devant attester des activités de formation continue de l’université, et en particulier pour le bilan financier, c’est le service commun qui collecte auprès de l’ensemble des UFR et départements concernés les informations financières pour confectionner un tableau récapitulatif (une fois par an) p.15.
En matière de formation continue, la communication de l’établissement est indigente, sauf lorsque les composantes gèrent elles-mêmes leur formation continue (p.15).
Artois: Table des matières - La stratégie en matière de formation, IV – Un vrai savoir-faire en formation continue et en apprentissage, 1 Formation continue.
1 Formation continue
L’UA, en particulier l’IUT de Lens, dispose d’une expérience remarquable de formation continue, et a mis à juste titre les synergies et l’intégration FI-FC au centre de sa stratégie. L’UA, bien positionnée géographiquement au coeur d’un large bassin industriel, a su se mettre au service des entreprises (partenaire du pôle formation de la CCI), et de la population (2 716 stagiaires en 2007, 10 % des diplômés). Toute l’activité de FC de l’UA est commune et pilotée par le SEPIA. Le chiffre d’affaires total de 2,128 M€ (2007) se décompose pour 50,7 % en contrats publics (à 93 % appel d’offres du plan de formation régional), 46 % d’entreprises et leurs OPCA, et 4 % particuliers et autres. À la demande du conseil régional, l’UA oriente progressivement son offre vers le soutien aux pôles de compétitivité présents dans la région et a d’ailleurs construit un indicateur d’"adhérence aux pôles de compétitivité".
Au niveau inter-universitaire, le directeur du SEPIA est le coordonnateur du réseau de formation continue de l’Enseignement supérieur de la région (six universités + ARCNAM).
L’UA est très active en VAE (266 jurys cumulés au 26-11-2008, dont 155 pour la seule LP Commerce de l’IUT de Lens). La VAE a concerné 30 filières de l’UA sur 87 mi-2008. L’activité du SEPIA (607 personnes accompagnées en 2007) a d’ailleurs été valorisée au sein de l’UA ; l’expérience acquise en matière d’accompagnement et d’orientation auprès des stagiaires FC a facilité la mise en place du plan licence ; la démarche "compétences" de l’UA est animée par le conseiller VAE ; la FC contribue à la définition de la nouvelle offre de formation.
L’intégration de l’IUFM amènera le SEPIA à ouvrir un chantier important, la formation continue des maîtres et la VAP/VAE qui permettra d’amener des professionnels aux métiers d’enseignement – ou de "requalifier" des enseignants déjà en place, processus freiné par l’académie en raison de son coût.
Le SFC dispose de 24,5 postes dont quatre fonctionnaires. Ce service parvient à équilibrer ses comptes et au-delà puisque l’UA peut opérer un prélèvement égal à 20 % de son chiffre d’affaires (p.12).
Les Points forts: Expérience en matière de formation continue et d’apprentissage (p.29).
Ecole Nationale des Chartes: la Formation Continue n'est pas dans la Table des Matières.
Les initiatives en matière de formation continue sont plus récentes et plus modestes. L’ENC affiche de grandes ambitions à cet égard, mais les réalisations se comptent encore à l’unité: un stage annuel de paléographie, qui remplace un cours du soir des Archives nationales, et une formation de 30 heures aux recommandations XML/TEI (éditions critiques de textes). L’ambition est d’avoir un catalogue d’une vingtaine de stages par an à vocation scientifique en direction des archives, des bibliothèques et des groupes de recherche, particulièrement dans quelques secteurs pointus (héraldique, sigillographie…). L’ENC paraît savoir caler ses projets dans le paysage existant de la formation continue et a commencé à mettre en place à cet effet une organisation administrative. Si la situation actuelle est encore balbutiante, il y a sur ce terrain de véritables opportunités que l’ENC est en capacité de saisir (p.12).
III – Les recommandations
Développer les activités de formation continue, en exploitant le fort potentiel qui existe dans les régions et les collectivités territoriales, comme dans le secteur privé (p.25).
 
http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngThese reports are written in October and November 2009 Valenciennes Hainaut-Cambrésis, Lille1, Lille2, Artois, Ecole Nationale des Chartes.
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20 mai 2010

AERES: la FC à Paris Descartes, l'UAG, Cergy et Littoral

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngCes rapports sont d'août et septembre 2009: Paris Descartes, Antilles Guyane, Cergy-Pontoise, Littoral Côte d'Opale.
Voici les passages concernant la Formation Continue.
Paris Descartes: La formation continue est inégalement développée selon les champs disciplinaires: naturellement forte dans les formations professionnalisantes et particulièrement appuyée sur l’IUT, son orientation vers la formation tout au long de la vie doit être renforcée pour se décliner dans tous les diplômes (p.13).
La formation tout au long de la vie est un enjeu important. Une restructuration de la formation continue médicale en adéquation avec les évolutions de la législation spécifique aux métiers de la santé est amorcée (p.14).
Antilles Guyane: La formation continue est mise en oeuvre, de façon partielle, à l’Institut universitaire de formation continue, qui a le label UAG et dont le siège est installé en Guadeloupe, mais qui fonctionne sur les trois pôles. Ses budgets par pôle sont variables car ils sont dépendants des aides financières des régions: celle qui participe le plus est la région de Guyane. Ses recettes s’élèvent à 2,4 M€ en 2008, dont 1,1 M€ de chiffre d’affaires. La formation continue gagnerait à être soutenue à différents niveaux : pilotage, niveau d’activité et bilan (p.14).
Cergy-Pontoise: c'est le premier rapport où la Formation Continue apparaît dans la table des matières (mais pas seule)
I – Une offre de formation riche et diversifiée, 3 La professionnalisation et la formation continue.
La formation continue
Le développement de la formation continue est, avec la Validation des acquis de l’expérience (VAE), placé sous la responsabilité du SCREP. Depuis 2005, le taux de diplômés en formation continue est passé de 2,9 % du nombre total des diplômés en 2005 à 7,9 % en 2008, témoignant ainsi de la dynamique impulsée par le service et de la mobilisation des composantes. Le nombre d’heures-stagiaires a augmenté de 63 % (225 000 en 2008), et le montant annuel total des ressources de la formation continue (de 800 000 euros en 2008) a été multiplié par 2,4. Parallèlement, le nombre de dossiers de VAE déposés est passé de 58 à 140 (+140 %), le nombre de candidatures retenues de 31 à 40 et le nombre de diplômes délivrés de 29 à 38 (+31 %). p.14
Le service commun "relations avec les entreprises et professionnalisation" (SCREP) a été mis en place en septembre 2005, afin de disposer d’un dispositif unique chargé de l’ensemble des relations avec les entreprises. Sa mission consiste à: assurer le développement de la formation continue diplômante et non diplômante, développer l’accès à la VAE (p.15).
Littoral Côte d'Opale: c'est le premier rapport où la Formation Continue apparaît seule dans la table des matières.
La stratégie en matière de formation, IX – La formation continue.
Dans une région fortement touchée par le chômage et les restructurations industrielles, le développement des formations professionnalisées et de la formation continue apporte une contribution appropriée pour ce bassin d’emploi. La baisse des effectifs constitue un autre indicateur à surveiller, même si cette baisse est partiellement masquée par l’augmentation des étudiants étrangers ou relevant d’une convention avec l’ULCO (p.6).
La moitié des formations sont des formations professionnalisées. La montée en puissance des licences professionnelles y est très forte puisqu’on compte 17 licences professionnelles, y compris en Droit et en Sciences humaines et sociales, et la formation continue y est très développée (p.13).
IX – La formation continue
C’est l’un des points forts de l’établissement qui a mis des moyens dans le service de FC en termes de postes (8 PRAG/PRCE, 2 MCF, 1 PAST). La centralisation du service est un agent de dynamisme et d’efficacité. Les comptes financiers fournis par l’établissement font apparaître une véritable explosion du montant des recettes, puisqu’après des années d’une stabilité relative - 906433,33 € en 2003, ce montant passe à 1908901,98 € en 2007. L’accueil des étudiants en reprise d’études est facilité par l’intégration de ces étudiants dans les groupes de formation initiale. Les procédures de VAE sont harmonisées dans le PRES Université Lille Nord de France, y compris en termes de financement, avec l’aide du Conseil régional qui prend en charge la totalité du coût de la validation. Les résultats sont plus qu’honorables puisqu’environ 70 VAE sont délivrées chaque année dont 80 à 85 % de validations totales (p.17-18).

http://www.aeres-evaluation.fr/extension/aeres_ext/design/aeres/images/css/logo.pngThese reports are written in August and September 2009: Paris Descartes, Antilles Guyane, Cergy-Pontoise, Opal Coast.
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20 mai 2010

3èmes Rencontres de l’Apprentissage de l’Enseignement Supérieur

Les 26 et 27 mai prochains, Marne La Vallée accueillera à Lognes la 3ème édition des Rencontres de l’Apprentissage de l’Enseignement Supérieur. Cet événement, réservé aux entreprises et aux candidats-apprentis, permettra à ces acteurs de préparer leur avenir commun. http://www.rencontres-apprentissage.fr/.
L’originalité de cet événement : manifestation unique en Ile-de-France, ces Rencontres regroupent 9 établissements d’enseignement supérieur et sélectionnent des candidats apprentis pour les responsables RH des 50 entreprises attendues. C’est l’adéquation des besoins exprimés.
Un objectif commun : la valorisation d’un réseau de professionnels. Chaque acteur ayant été sélectionné dans sa capacité à répondre aux besoins de cet événement, les rencontres sont ciblées donc plus efficaces et les pré-recrutements sont réalisés plus rapidement.
Les acteurs : grandes entreprises du CAC 40, PME-PMI innovantes, 9 établissements d’enseignement supérieur, plus de 1000 candidats-apprentis sélectionnés ainsi que des acteurs de l’emploi (collectivités territoriales, chambres consulaires) qui s’investissent dans des projets innovants.
Deux phases :
• Une phase préparatoire sur le site www.rencontres-apprentissage.fr où se retrouvent :
- les grandes écoles, universités et cfa qui présentent leurs cursus ;
- les entreprises et leurs missions d’apprentissage ;
- les candidats-apprentis avec leurs attentes et leurs potentialités professionnelles.
Des menus déroulants, des moteurs de recherche et des formulaires semi-automatiques de réponses sont les outils facilitateurs de ce site.
• La phase Rencontres sur 2 journées (Bac+2/3 ; Bac+5 et ingénieurs) où chacun se présente à l’occasion de rendez-vous planifiés à l’avance ou en candidat libre et où les entreprises peuvent se faire connaître par des mini-conférences.
26 e 27 maggio prossimi, Marne La Vallée Torcy benvenuto alla terza edizione degli Incontri di formazione superiore. Questo evento, riservato alle aziende e candidati, apprendisti, permetterà a questi giocatori per preparare il loro futuro insieme. http://www.rencontres-apprentissage.fr/. L'unicità di questo evento: evento unico in Ile-de-France, queste riunioni partecipano nove istituti di istruzione superiore e di selezionare i candidati per gli apprendisti HR di 50 aziende del previsto. C'est l'adéquation des besoins exprimés. E 'l'adeguatezza esigenze. Maggiori informazioni...
19 mai 2010

Le portail de l'alternance ouvre !

http://www.pole-emploi.fr/__cache__/image/site/interpe/logo-pole-emploi.gif%5B139x90%5D.pngFaciliter l’accès des jeunes aux offres d’emploi en contrat en alternance sur un site internet unique, c’est l’objectif du portail de l’alternance lancé à l’initiative de Laurent WAUQUIEZ, Secrétaire d’Etat chargé de l’Emploi auprès du Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi.
Chercher un contrat en alternance
Cette bourse d’emploi permet d’accéder à des offres de contrats d’apprentissage et de professionnalisation dans divers métiers et dans toute la France. On y trouve également des informations et régulièrement des actualités sur les événements liés à l’Alternance. Le portail repose sur un partenariat avec différents organismes qui mettent à disposition des offres de contrats et des actualités.
Les organismes partenaires
Les partenaires associés au ministère sont Pôle emploi, l’ACFCI, l’APCM, le MEDEF, la CGPME et l’UPA, tous mobilisés en vue de développer la voie de l’Alternance. Mais également le Centre INFFO qui les accompagne en apportant des informations sur la formation en alternance.
Un contrat sur mesure
Une navigation simplifiée permet à l’internaute d’entrer ses critères de recherche (le métier, le type de contrat, le lieu, ou le niveau visé). Le résultat de la requête renseigne sur l’ensemble des offres déposées par les organismes partenaires mentionnant les éléments suivants : libellé du poste, lieu géographique, type de contrat, niveau de diplôme requis ou visé pour exercer la fonction ou le métier.
%% 
Http://www.pole-emploi.fr/__cache__/image/site/interpe/logo-pole-emploi.gif
5B139x90 5D.png Para facilitar el acceso de los jóvenes a oportunidades de empleo en el contrato de forma alterna en un portal único sitio web es el centro de la alternancia en marcha por iniciativa de Laurent Wauquiez, Secretario de Estado para el Empleo en el Ministerio de Economía, Industria y Empleo.
Buscar alterna contrato
esta solicitud de beca permite el acceso a ofertas de aprendizaje y la profesionalización en diversos oficios y en toda Francia . Más información...
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