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Formation Continue du Supérieur
8 avril 2010

Le "grand emprunt" pour l'Enseignement Supérieur

Par Philippe Jacqué. http://medias.lemonde.fr/mmpub/img/lgo/lemondefr_pet.gifLe calendrier exact et les critères de sélection des futurs campus d'excellence ne sont toujours pas arrêtés. Mais, le ministère de l'enseignement supérieur soulève un coin du voile sur la manière dont il va gérer le "grand emprunt". Devant les présidents d'université réunis pour leur colloque à Nancy, Valérie Pécresse, détaillait, jeudi 1er avril, la façon dont seront alloués les 19 milliards d'euros dégagés par l'emprunt national pour l'enseignement supérieur et la recherche.
Désormais, une chose semble sûre. "Ne pourront répondre à ces différents appels d'offre que les établissements, qu'ils soient des universités, des grandes écoles, des organismes de recherche, ou des regroupements d'établissements", explique Mme Pécresse au Monde. Ainsi, les laboratoires ou instituts ne pourront pas, par exemple, directement prétendre au milliard d'euros prévus pour financer des équipements de recherche. En revanche, une chose semble sûre, pour être sélectionné campus d'excellence, il faudra avoir une visibilité mondiale.
De même, concernant la gouvernance de ces futurs campus, Mme Pécresse reste pragmatique. "Leur gouvernance n'est pas une fin en soi, mais un moyen au service d'une ambition collective, qui doit se construire dans la durée (…). On ne peut donner aucune réponse univoque à ces questions. Chaque projet de campus portera sa propre logique et son organisation, qui s'affirmera et s'affinera tout au long de sa construction".Bref, "il n'y aura pas de kit organisationnel à prendre ou à laisser", conclut la ministre.
Por Jacque Philippe. http://medias.lemonde.fr/mmpub/img/lgo/lemondefr_pet.gifLas fechas exactas y los criterios de selección de futuros campus de excelencia aún no detenidos. Pero el ministerio de la educación superior aumenta el velo sobre cómo va a gestionar el gran "deuda". Antes de los presidentes universitarios se reunieron para su conferencia en Nancy, Valérie Pécresse, dio detalles el jueves 1 de abril, la forma se asignarán 19 billion euros generados por el endeudamiento interno para la educación superior y la investigación. Más información...
7 avril 2010

L'impact économique local de l'enseignement supérieur

http://www.localtis.info/images/Localtis/logoLoc.gifPar Muriel Weiss. Avec 2,3 millions d'étudiants et 83 universités répartis sur l'ensemble du territoire, la France dispose d'un atout économique incontestable. Les nombreux universitaires présents le 31 mars autour d'une table ronde à Paris ont souhaité évaluer l'impact économique local de l'enseignement supérieur. La tâche s'avérait ardue car les critères d'évaluation sont nombreux. Le secrétaire général de l'Association des villes universitaires de France (Avuf), Pierre Albertini, en a cependant énoncé quelques-uns. En premier lieu, les dépenses des étudiants et du personnel universitaire permettent d'anticiper une source de revenus pour le territoire sur lequel est implantée l'université. Ainsi, une étude réalisée par Ipsos pour le Crédit agricole en septembre 2009 établissait que la dépense moyenne des étudiants était de 521 euros par mois. Un chiffre auquel il faudrait ajouter les créations d'emplois ainsi que les dépenses de fonctionnement et d'investissement de l'enseignement supérieur. Mais, comme le souligne Michel Vernières, dans son rapport publié en 2007, l'évaluation des dépenses universitaires est particulièrement délicate à réaliser : "La première difficulté provient de la diversité des entités institutionnelles (universités, écoles, laboratoires…) et la seconde est d'imputer les dépenses aux diverses branches de l'activité économique en localisant les fournisseurs afin de calculer la part des dépenses réalisées localement." Le rapport souligne également que l'enseignement supérieur a un impact démographique mais aussi culturel, un effet sur le marché du travail et qu'il peut être un atout pour les politiques urbaines. Autant d'éléments qui devraient motiver les territoires à accueillir des universités. Mais les obstacles sont encore nombreux. Si le plan Campus a permis de soutenir 12 pôles universitaires d'excellence et 9 campus "prometteurs et innovants" avec près de 5,5 milliards d'euros débloqués par l'Etat (voir notre article ci-contre), il n'a distingué, selon certains élus, que les grandes universités, laissant souvent de côté les petites entités décentralisées. Or, comme le souligne Priscilla De Roo, chargée de mission à la Datar (délégation interministérielle à l'aménagement du territoire et à l'attractivité régionale), "les villes moyennes, de 30.000 à 200.000 habitants, sont souvent laissées dans l'ombre. Or, elles sont un territoire d'intermédiation essentiel. Il faut arrêter de polariser l'enseignement supérieur". Pierre Albertini s'inquiète d'ailleurs de l'avenir de certaines villes qui dépend, selon lui, des universités qu'elles accueillent, préoccupation d'ailleurs maintes fois exprimée par la Fédération des maires des villes moyennes (FMVM) (lire nos articles ci-contre). Le secrétaire général de l'Avuf reconnaît de plus qu'"il ne suffit pas d'avoir une université, il faut qu'elle soit spécialisée". Pour aider les collectivités locales à s'engager dans cette voie, l'Avuf est en passe de signer une convention-cadre avec la Conférence des présidents d'université (CPU) afin d'évaluer ensemble les expériences locales ainsi que l'intégration citoyenne des étudiants mais aussi de construire des schémas locaux d'enseignement supérieur, qui viendront compléter les schémas territoriaux déjà existants.
http://www.localtis.info/images/Localtis/logoLoc.gifBy Muriel Weiss. With 2.3 million students and 83 universities located throughout the territory, France has an undeniable economic advantage. The many academics present on March 31 around a round table in Paris wanted assess the local economic impact of higher education. The task proved difficult because the criteria are numerous. The Secretary General of the Association of university towns in France (Avuf), Pierre Albertini, however, has stated a few. First, spending by students and academic staff can anticipate a source of income for the area in which the university is located. Thus, a study conducted by Ipsos for the Farm Credit in September 2009 established that the average expenditure of students was 521 euros per month. A figure which should be added job creation as well as operating costs and investment in higher education. But, as pointed Vernieres Michel, in his 2007 report , the evaluation of university expenditure is particularly difficult to achieve: "The first difficulty is the diversity of institutional entities (universities, schools, laboratories ...) and the second is to allocate expenses to various branches of economic activity in locating providers in order to calculate the share of expenditures made locally . More...

6 avril 2010

Rennes : un cursus universitaire immobilier pour validation des acquis

Une convention de partenariat a été signée entre le Syndicat National des Professionnels Immobiliers et l'université de Rennes-1.
Pour la première fois en France, les collaborateurs du secteur immobilier peuvent accéder à la carte professionnelle en faisant valider leur expérience dans le cadre d’un cursus de formation professionnelle en collaboration avec l’Université de Rennes et l’IUT de Saint Brieuc. Une convention de partenariat a été signée entre le Syndicat National des Professionnels Immobiliers et l'université de Rennes-1. Cette signature réunit l'université et les professionnels de l'immobilier pour une action de Validation des Acquis en Entreprise (VAE) concernant la licence professionnelle « Négociation et promotion immobilières », délivrée par l'IUT de Saint-Brieuc et en partenariat avec la faculté des métiers de Ker Lann. La VAE s’est ouverte il y a un an au marché de l’immobilier afin de permettre aux collaborateurs d’obtenir leur carte et d’ouvrir leur propre agence ou de reprendre une agence dans laquelle ils sont employés. Les agents immobiliers ainsi diplômés pourront alors acquérir leurs cartes professionnelles de gestion et de transaction. Une vingtaine de places sont proposées pour les candidats du Grand Ouest.
Un acuerdo de asociación fue firmado entre el Sindicato Nacional de Profesionales de Bienes Raíces y la Universidad de Rennes 1.
Por primera vez en Francia, el sector de bienes raíces puedan tener acceso los empleados de la tarjeta de visita mediante la validación de sus experiencias como parte de un curso de formación profesional en colaboración con la Universidad de Rennes, IUT Saint Brieuc
. Más información...
5 avril 2010

205 600 demandeurs d’emploi en formation en mars 2010

2793900 personnes ont été indemnisées par Pôle emploi en mars 2010 selon les derniers chiffres publiés. Toutes allocations confondues (y compris chômage, formation et préretraites), leur nombre a augmenté de 0,3 % sur un mois et de 12,2 % sur un an.
Parmi eux, 205 600 demandeurs d’emploi étaient en formation en mars 2010 :

- 98800 bénéficiaires de l'ARE formation, de l’AFF et de l’AFDEF (+ 5,3 % en un an),
- 86300 bénéficiaires de la Convention de Reclassement Personnalisé (+62,8 % en un an),
- 14900 bénéficiaires du Contrat de Transition Professionnelle (+397 % en un an),
- 1000 bénéficiaires de la Rémunération des Stagiaires du Régime Public (RSP) ou de l’allocation de Solidarité Spécifique Formation (ASS-F) (+0 % en un an),
- 4 600 bénéficiaires de la Rémunération Formation Pôle emploi (RFPE).

2793900 personer har kompenserats av sysselsättningen Center i mars 2010, enligt senaste siffrorna. Alla kombinerade bidrag (däribland arbetslöshetsersättning, utbildning och förtidspensionering), antalet har deras ökade med 0,3% under en månad och 12,2% på ett år.
Bland dessa arbetssökande var 205.600 i utbildning mars 2010:
- 98.800 mottagare av AER bildning , AFF och de AFDEF (5,3% på årsbasis)
- 86 300 mottagare av konventionen Omklassificering Custom (62,8% på ett år)
- 14.900 mottagare av Professional Transition avtalet (397% på ett år). Mer...

5 avril 2010

La Faculté des Métiers de Ker Lann

http://www.fac-metiers.fr/wpFichiers/1/1/Banniere/58/bann.pngLa Faculté des Métiers est née d’une idée : promouvoir une véritable culture des métiers à travers un centre de référence  dans le domaine de la formation professionnelle par alternance.  Cette structure a été créée à Rennes-Bruz (35), en 1999, à l’initiative de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat d’Ille-et-Vilaine et de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Rennes-Bretagne, avec le soutien de l’Etat, du Conseil Régional de Bretagne et du Conseil Général d’Ille-et-Vilaine.
Implantée au cœur du campus de Ker Lann, à quelques  kilomètres  du centre de Rennes, la Faculté des Métiers offre aux jeunes des conditions de formation privilégiées, des infrastructures de haut niveau et un enseignement ouvert sur de nouvelles pratiques pédagogiques  en prise directe avec le monde professionnel. Deux établissements de la Faculté des Métiers-IFA sont implantés à Fougères et Saint-Malo.
Chaque année, la Faculté des Métiers et ses 300 enseignants forment par alternance plus de 3.600 jeunes dans 12 secteurs d’activité différents. Elle accueille également 3.000 adultes en formation continue. Au total, la Faculté des Métiers propose une palette de 64 métiers à travers 108 diplômes et certifications professionnelles.
http://www.fac-metiers.fr/wpFichiers/1/1/Banniere/58/bann.png  Fakulteten för Trades föddes en idé: att främja en kultur av verksamheten genom ett kompetenscentrum inom området för yrkesutbildning. Denna struktur skapades i Rennes Bruz (35), 1999, initiativ av hantverkskammaren och konsthantverk av Ille-et-Vilaine och handelskammaren och industriministeriet i Rennes-Bretagne, med statligt stöd, regionfullmäktige i Bretagne och allmänna råd Ille-et-Vilaine. Beläget i hjärtat av Ker Lann campus , några miles från centrala Rennes, Fakulteten för hantverk erbjuder ungdomar utbildning, föredrog anläggningar klass och undervisning, öppen för nya pedagogiska metoder i samklang med världen professionell. Två anläggningar i fakulteten Trades-IFA finns i Fougères och Saint-Mal. Mer...
4 avril 2010

Les chômeurs en fin de droit vont recevoir une allocation spécifique

http://www.lexpress.fr/imgstat/logo_lexpress.gifLe gouvernement a confirmé la création d'une allocation spécifique de crise pour les chômeurs en fin de droit, dont le montant sera de l'ordre de 460 euros par mois.
C'était un des arguments de la gauche: que vont devenir les centaines de milliers de chômeurs en fin de droit? Le gouvernement a fini par trouver une solution. La majorité est soulagée, au point que l'UMP a annoncé la signature de cet accord par un communiqué envoyé dans les rédactions, avant même qu'il ne soit signé.
En déplacement dans le Val d'Oise, le président Nicolas Sarkozy avait révélé dans la journée qu'un "dispositif exceptionnel" serait proposé aux 360 000 chômeurs qui ont épuisé leurs droits aux allocations chômage et qui ne peuvent prétendre au revenu de solidarité active (RSA) ni à l'allocation de solidarité spécifique (ASS). Il s'est réjoui dans la soirée de la signature de cet accord, signé par tous les partenaires sociaux à l'exception de la CGT.
Le secrétaire d'Etat chargé de l'Emploi, Laurent Wauquiez, en a négocié les modalités avec les partenaires sociaux en fin d'après-midi à Bercy. "C'est une bonne nouvelle pour les demandeurs d'emploi et un succès pour les partenaires sociaux et le gouvernement" a-t-il dit lors d'une conférence de presse en soirée. "Ces mesures exceptionnelles et temporaires, qui sont sans précédent, correspondent au caractère exceptionnel et temporaire de la période de crise", a dit aux journalistes Benoît Roger-Vasselin, de la délégation des employeurs. Le gouvernement a intégré ce dispositif dans un plan "rebond pour l'emploi" comptant pour 700 millions d'euros de mesures nouvelles.
Il prévoit des formations rémunérées pour 70 000 personnes
et des contrats aidés pour 70 000 autres.
Pour ceux qui ne seraient éligibles à ces dispositifs, le plan prévoit le versement d'une aide exceptionnelle pour l'emploi dont le montant sera identique à celui de l'ASS, proche de 460 euros par mois, et sera perçue pendant six mois à partir de fin mai pour les personnes qui se retrouvent en fin de droits en 2010. Entre 70 000 et 110 000 personnes devraient en bénéficier.
http://www.lexpress.fr/imgstat/logo_lexpress.gifO Governo confirmou a criação de uma dotação específica de crise para os desempregados no final da lei, o montante será de cerca de € 460 por mês. Foi um dos argumentos da esquerda: o que será uma das centenas de milhares de desempregados no final direito? O governo finalmente encontrou uma solução. A maioria está aliviada ao ponto em que o UMP anunciou a assinatura do presente acordo, mediante um comunicado enviado para as redações, mesmo antes de ser assinado. Ao viajar no Val d'Oise, o presidente Nicolas Sarkozy revelou que o dia em que medida "excepcional" seria oferecido aos 360 000 desempregados que tenham esgotado os seus direitos às prestações de desemprego e que não se qualificam para o rendimento do trabalho de Solidariedade ( RSA) ou o subsídio específico de solidariedade (ASS). Ele oferece estágio remunerado de 70 000 pessoas e contratos assistida por 70 000 pessoas. Leia mais...
3 avril 2010

La mise en oeuvre de la réforme de la formation professionnelle

Au conseil des Ministres du 31 mars 2010, le secrétaire d’État chargé de l’emploi, Laurent Wauquiez, a présenté une communication relative à la mise en oeuvre de la réforme de la formation professionnelle, quatre mois après la promulgation de la loi du 24 novembre 2009 relative à l’orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie.
La réforme s’articule autour de trois priorités.
* Elle instaure une plus grande équité d’accès à la formation professionnelle via la création d’un fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels. Ce fonds est en place depuis le 12 mars dernier. Une convention cadre entre les partenaires sociaux et l’Etat en fixe les lignes directrices pour les trois prochaines années. Doté de plus de 1 milliard d’euros en 2010, ce fonds aura notamment vocation cette année à soutenir les contrats en alternance, financer le développement de formations visant à acquérir des savoirs de base et appuyer les actions de formations pour les salariés fragilisés par la crise (licenciés économiques, salariés en activité partielle).
* Elle fait de la formation professionnelle un outil favorisant plus directement l’accès ou le retour à l’emploi. Cela passe en particulier par le développement des contrats en alternance et la création de nouveaux outils comme le droit individuel à la formation pour les demandeurs d’emploi.
* Elle renforce la transparence des circuits de financement et améliore la qualité des formations. A cet égard, la réforme des organismes collecteurs paritaires agréés (OPCA) permettra de regrouper les organismes et de mieux s’assurer de la bonne gestion des fonds de la formation professionnelle. Un groupe de travail avec les partenaires sociaux a été installé en ce sens.
La mise en œuvre de la réforme se réalise à un rythme soutenu. A ce jour, la moitié des décrets d’application de la loi sont déjà publiés ou en cours de publication.
Na posiedzeniu Rady Ministrów z dnia 31 marca 2010 r., sekretarz stanu ds. zatrudnienia Laurent Wauquiez, przedstawiła referat na temat realizacji reformy kształcenia zawodowego, w cztery miesiące od ogłoszenia ustawy z dnia 24 listopada 2009 r. w sprawie wytycznych i kształcenia przez całe życie.
Reform skupia się na trzech priorytetach
. Więcej...
2 avril 2010

Valider les acquis pour enrichir des parcours personnels et professionnels

à la une : Soleo 22Les repères essentiels par Michel Feutrie, expert de Bologne (Soleo-22.pdf)
A Copenhague en 2002, les Ministres de l’Education ont demandé que soient développés des Principes communs concernant la validation des apprentissages non formels et informels « en vue d’assurer une meilleure comparabilité entre les approches mises en place dans différents pays et à différents niveaux ». Adoptés en 2004, ils sont aujourd’hui une nouvelle étape avec la proposition aux Etats membres d’un Guide européen pour la validation des acquis non formels et informels pour les aider à mettre en oeuvre concrètement des dispositifs de validation de qualité et d’assurer un accompagnement compétent des candidats. L’impact de ces initiatives est mesuré par des points réguliers réalisés par ECOTEC, le « European Inventory ».
La progression de la validation est facilitée par la référence accrue aux résultats d’apprentissages (learning outcomes) permettant d’établir des liens entre les objectifs d’un programme de formation et ce qui a été effectivement appris par un candidat, quels que soient le lieu et les modalités d’apprentissage, et par la mise en place de Cadres nationaux permettant de situer les certifications les unes par rapport aux autres. En outre, le développement de systèmes de crédits (ECTS pour l’enseignement supérieur et ECVET pour la formation professionnelle) basés sur la langue commune que représentent les résultats d’apprentissage rendent plus aisées les validations partielles de certifications et l’organisation de parcours flexibles d’acquisition des compléments nécessaires à l’obtention de certifications complètes.
Dans ce contexte, la France joue un rôle moteur pour les autres pays compte-tenu de la législation qu’elle a développée à partir de 1985 autorisant l’accès à tous les niveaux de l’enseignement supérieur sur la base de l’expérience. Depuis, un pas décisif a été franchi avec la loi de 2002 créant un droit à la validation pour les individus et rendant possible l’attribution de la quasi totalité des certifications, uniquement sur la base de l’expérience.
La France a ainsi démontré, en vraie grandeur, la « faisabilité » d’un dispositif généralisé. Environ 60000 dossiers sont traités chaque année par les établissements des différents ministères certificateurs, 5000 pour l’enseignement supérieur et de plus en plus d’entreprises intègrent cette disposition dans leur gestion des ressources humaines. Mais on commence à mesurer un certain essoufflement qui est sans doute lié à l’épuisement d’une catégorie de candidats.
Nous allons maintenant entrer dans une nouvelle phase où la validation va devenir davantage un instrument d’accompagnement des parcours personnels et professionnels marqués par des reconnaissances officielles loi de 2002 créant un droit à la validation pour des acquis, le plus souvent partielles (par des crédits, des unités).
Cette perspective s’inscrit dans un des objectifs affichés par le Conseil qui souhaite le renforcement par les Etats d’ici 2020 de stratégies de formation tout au long de la vie. Pour cela, « il est nécessaire de s’employer à établir des Cadres de qualifications nationaux sur la base des acquis pertinents et à les relier au Cadre européen des certifications; à mettre en place des parcours de formation plus flexibles et à renforcer la transparence et la reconnaissance des acquis de l’éducation et de la formation »
in the 
News: Soleo 22The essential reference by Michel Feutrie, an expert Bologna (Soleo-22.pdf) In Copenhagen in 2002, the Ministers of Education have called for developing common principles regarding validation of non formal and informal "to ensure better comparability between the approaches adopted in different countries and at different levels . Adopted in 2004, they are now another step forward with the proposal to member states of a Guide for the Validation of non formal and informal help to implement concrete mechanisms to validate quality and ensure competent coaching candidates. The impact of these initiatives is measured by regular points made by ECOTEC , the "European Inventory".

In this context, France is playing a leading role for other countries in view of the legislation it has developed since 1985 allowing access to all levels of higher education on the basis of experience. Since then, a decisive step was taken with the 2002 law creating a right for individuals to validate and making possible the allocation of almost all the qualifications, solely on the basis of experience. France has thus demonstrated at scale, the "feasibility" of a generalized device. More...
1 avril 2010

La formation peut-elle échapper aux règles de la concurrence ?

http://www.carif-idf.org/upload/docs/image/jpeg/2008-11/th-250x1999-logo_carifcentreinfo.jpg.jpgLa formation professionnelle est unanimement reconnue comme un droit fondamental pour tous, tout au long de la vie. Services sociaux d’intérêt général (SSIG), Services d’intérêt économique général (SIEG), services publics régionaux de formation professionnelle … Quelles règles européennes et nationales ? Quelles politiques régionales ?
La formation professionnelle est-elle une activité économique comme les autres ? Quelle conciliation entre missions d’intérêt général, exigences de transparence et règles de concurrence ?
Journée co-organisée par le Centre Inffo et le GIP CARIF Ile-de-France en présence de Laurent Ghékière, délégué de l’Union sociale pour l’habitat auprès de l’Union Européenne, Michel Clézio, président de la Fédération des Unions régionales des organismes de formation et Régis Roussel de Centre Inffo. Télécharger le diaporama de la matinée.
http://www.carif-idf.org/upload/docs/image/jpeg/2008-11/th-250x1999-logo_carifcentreinfo.jpg.jpgFormarea profesională este universal recunoscut ca un drept fundamental pentru toţi pe tot parcursul vieţii. Servicii sociale de interes general (SSIG), servicii de interes economic general (Sieg), utilitati de formare regionale ... Ce normele europene şi naţionale? Politici regionale?
Formare profesională este o activitate economică la fel ca orice alt?
Ce echilibru între misiuni de interes general, cerinţele privind transparenţa şi regulilor de concurenţă? Descărcaţi prezentarea de dimineata. Mai mult...
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