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Formation Continue du Supérieur
16 octobre 2009

Adoption par le Sénat de la Loi sur la Formation Professionnelle

Le Parlement a adopté le 13 octobre 2009 et le Sénat le 14 octobre 2009 le projet de loi relatif à l'orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie. Pour Laurent Wauquier, "La formation professionnelle ne doit pas avoir d’autre priorité que de permettre à ceux qui ont un emploi de le garder et de progresser dans leur carrière, et à ceux qui l’ont perdu de le retrouver" (Plus d'infos sur les objectifs de la loi).
Coordination des politiques de formation
- création d'un contrat de plan régional de développement des formations professionnelles (en remplacement du PRDFP) élaboré par la Région au sein du CCREFP, signé par la Région, l'Etat et le Recteur d'académie, Chancelier des Universités.
- expérimentation de conventions de coopération entre les établissements de formation professionnelle et l'université pour développer les formations qualifiantes, dans le cadre du PRDFP.
Formation des salariés
- les catégories du plan de formation "Actions d'adaptation au poste de travail" et "Actions liées à l'évolution ou au maintien dans l'emploi" sont regroupées. Ces actions doivent se dérouler pendant le temps de travail (avec le cas échéant majoration en heures supplémentaires ou compensation)
- la portabilité du DIF : en cas de licenciement non consécutif à une faute lourde, un salarié peut utiliser ses droits au DIF s'il en fait la demande pendant son préavis. Le financement correspondant est calculé sur la base du forfait fixé par décret pour la professionalisation (9,15€/h). L'action a lieu pendant son temps de travail si elle est réalisée durant son préavis. L'OPCA de l'employeur initial financera l'action si le bénéficiaire la réalise en tant que demandeur d'emploi. S'il est embauché, ce dernier pourra demander à son nouvel employeur d'utiliser ses droits au DIF dans les deux ans (c'est alors l'OPCA du nouvel employeur qui finance). En cas de désaccord sur la formation avec son nouvel employeur, celle-ci peut avoir lieu hors temps de travail et l'allocation formation n'est pas dûe par l'employeur.
- la possibilité de financement par l'OPACIF de CIF hors temps de travail (une durée minimum de formation sera fixée)
- la création du bilan d'étape professionnel que peuvent demander les salariés ayant 2 ans d'ancienneté dans leur entreprise (renouvelable tous les 5 ans)
- l'organisation d'un entretien professionnel à l'âge de 45 ans dans les entreprises de 50 salariés et plus
- la possibilité pour les groupements d'employeurs de mettre à disposition des salariés pour en remplacer d'autres partis en formation
- le contenu des négociations triennales de branche sur la formation est précisé : elles doivent porter notamment sur  l'accès aux certifications et à la formation des salariés, la portabilité du DIF, la VAE, la mise en oeuvre du passeport orientation-formation et le tutorat.
- le financement des jurys VAE ou d'examen (la participation des salariés sera imputable sur le budget formation ou, pour les non salariés prise en charge par leurs FAF)
- les bénéficiaires du futur contrat unique d'insertion pourront bénéficier des périodes de professionnalisation
- l'expérimentation de la possibilité de financer au titre du plan de formation d'une entreprise la rémunération de tuteurs de jeunes stagiaires ou embauchés depuis moins de 6 mois et celle des salariés recrutés par une entreprise de moins de 10 salariés pour remplacer un salarié en formation...
Le 14 octobre 2009 au soir, les sénateurs et députés réunis en Commission Mixte Paritaire ont finalisé le vote du projet de loi relatif à l’orientation et la formation professionnelle tout au long de la vie. Ce projet de loi, issu d’un Accord National Interprofessionnel ratifié par la plupart des partenaires sociaux le 7 janvier 2009, vient de trouver son aboutissement : la petite loi, présentée sur le site internet du Sénat donne un aperçu législatif du nouveau texte. Le compte-rendu de la CMP du 14 octobre permet de suivre les discussions des parlementaires sur les articles et amendements proposés. Un résumé des principales mesures votées est disponible en ligne sur le site internet du CARIF Espace Compétences. D’autres mesures complètent celles présentées dans le lien url ci-dessus et sont également disponibles sur les sites internet de l’Assemblée nationale et du Sénat par l`intermédiaire de leurs dossiers législatifs.
Senato approva la legge sulla formazione professionale. Parlamento ha adottato Ottobre 13, 2009 e l'ottobre del Senato 14, 2009 il progetto di legge su orientamento professionale e la formazione professionale per tutta la vita. Per Laurent Wauquier, "La formazione professionale non ha altre priorità rispetto a consentire a coloro che hanno un lavoro per mantenere e far progredire nella loro carriera, e quelli che trovano che era perduto" (Più Informazioni sugli obiettivi della legge). Maggiori informazioni...
15 octobre 2009

La Conférence des Présidents d'Université et l'ARF signent une convention de coopération

Cette convention-cadre, signée le 12/10 en région Aquitaine, a pour objet d'organiser les actions contribuant à promouvoir une "Société de la Connaissance" sur les territoires. Convention-cadre ARF CPU.
Valérie Pécresse a participé au colloque «Attractivité et développement des territoires» organisé par l’Association des régions de France et la Conférence des présidents d’université. A cette occasion, la ministre a insisté sur la complémentarité de l’Etat et des régions, notamment en matière immobilière et dans le domaine de la vie étudiante. Elle a néanmoins rappelé qu’en termes de financements, 85% des financements perçus par les universités émanaient de l’Etat. Discours de Valérie Pécresse.
Extraits: Mais je pense aussi au tissu économique et industriel des différents territoires, et tout particulièrement aux pôles de compétitivité. Je sais que le rapprochement des pôles et du monde académique et scientifique est en marche, mais il faudra l’accélérer... Les priorités de développement économique d’une région doivent ainsi être confrontées à l’évaluation scientifique nationale des laboratoires, et aux attentes des milieux économiques, singulièrement celles des pôles de compétitivité.
http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpgPour la première fois, les universités et les régions décident de définir un cadre pour leurs nombreuses coopérations et d’adopter une méthodologie concertée pour les adopter et les évaluer. Cette nouvelle méthodologie repose principalement sur la mise en place de schémas régionaux de l’enseignement supérieur et de la recherche, déclinés sous forme de contrats pluriannuels passés entre la ou les universités et leur région.
Les objectifs poursuivis par ces schémas directeurs se développent selon plusieurs axes : - accroissement du potentiel universitaire et scientifique des établissements : développement de bâtiments universitaires et scientifiques, d’équipements scientifiques et pédagogiques, etc.; - production de connaissances nouvelles : recherche en lien avec les besoins économiques, sociaux et culturels du territoire, par exemple dans le domaine économique; - recherche collaborative entre universités et entreprises (pôle de compétitivité, clusters économiques…) ; mise en cohérence des actions (plateformes technologiques, etc.); - innovation par le transfert de connaissances : innovation dans les champs technologique, managérial, social et sanitaire; - accroissement et adaptation de l’offre de formation initiale, continue et par apprentissage en relation avec les besoins des territoires. Par exemple, la satisfaction des besoins de formation des pôles de compétitivité est une condition de leur réussite; - amélioration du logement et de la vie étudiante; - diffusion de la culture scientifique, technique et industrielle; - coopération conjointe à l’international : accueil d’enseignants chercheurs et d’étudiants étrangers, mobilité internationale des étudiants, etc.
The Conference of University Presidents and the ARF sign cooperation agreement. This framework agreement, signed on 12/10 in the Aquitaine region, is to organize activities to help promote a "knowledge society" in the territories. Speeches Valerie Pécresse. More.
Konferensen för universitets presidenter och ARF underteckna samarbetsavtalet.
Denna ram avtal, som undertecknades den 12/10 i regionen Aquitaine, är att ordna aktiviteter för att främja ett "kunskapssamhälle" i distrikten. Ramkonvention ARF CPU
. Tal Valerie Pécresse. Mer.

15 octobre 2009

Développer l'alternance dans la Fonction publique

http://www.carif-poitou-charentes.asso.fr/Skins/CARIF/images/General/Menu/F1_1.jpgLaurent Hénart a remis au Premier ministre un rapport sur le développement des formations en alternance dans le secteur public. Le rapporteur constate que l’alternance reste encore peu développée et propose de porter à 50 000 le flux annuel d’entrée de jeunes formés dans les trois fonctions publiques. En 2008, 6 400 apprentis ont été accueillis dans ce cadre, auxquels s’ajoutent 665 jeunes recrutés via le Pacte. L’objectif est que d’ici cinq ans, 25 % des recrutement dans la fonction publique territoriale puissent être fait par ce biais.
Laurent Hénart, recommande au gouvernement de mettre en place une « programmation nationale et territoriale » qui s’inscrirait dans la durée. Au niveau de l’Etat, chaque ministère définirait une politique d’apprentissage avec des objectifs à décliner dans les services et les établissements publics. Au niveau régional, les CCREFP (Comités de coordination régionaux de l’emploi et de la formation professionnelle) devraient se doter d’une "commission apprentissage". Dans la même optique, les COM (contrat d’objectifs et de moyens) devraient prévoir des objectifs de développement de l’apprentissage dans le secteur public.
En matière de financement, le rapporteur propose d’instaurer un système de bonus-malus pour inciter chaque ministère ou service déconcentré à accueillir au moins 1 % de jeunes en apprentissage parmi leurs effectifs. Dans les collectivités territoriales et les établissements hospitaliers, le coût résiduel de formation d’un apprenti pourrait être pris en charge par le FNDMA (Fonds national de développement et de modernisation de l’apprentissage), par le CNFPT (Centre national de la fonction publique territoriale) et l’ANFH ( Organisme collecteur des fonds de la  formation de la fonction publique hospitalière). Une aide supplémentaire de 2 000 euros par an et par apprenti formé pourrait être octroyé aux collectivités de moins de 20 agents. Le rapport propose également une prime de 3 200 euros par apprenti recruté dans le secteur public ajoutée au 1 800 euros déjà en vigueur suite au plan d’urgence en faveur de l’emploi des jeunes.
D’autres propositions sont également avancées comme l’alignement des rémunérations des apprentis du secteur public sur celles du secteur privé ; l’extension du dispositif des développeurs d’apprentissage aux employeurs publics ; la simplification de l’enregistrement des contrats ; une articulation plus nette de la formation avec des perspectives de recrutement et basée sur l’obtention d’un diplôme ou d’un titre répertorié au Répertoire national des certifications professionnelles.

http://www.carif-poitou-charentes.asso.fr/Skins/CARIF/images/General/Menu/F1_1.jpgLawrence Hénart pristatė Ministras Pirmininkas apie Sandvičo kursai vystymo viešajame sektoriuje ataskaitą. Pranešėjas pažymėjo, kad Mija vis dar yra neišvystyta ir pasiūlė 50 000 metinio srauto įrašas jaunimo apmokyti tris valstybines funkcijas. 2008 m. 6 400 mokiniai, buvo palankiai šiuo atžvilgiu, plius 665 įdarbinti per jaunimo paktas. Tikslas yra tai, kad per penkerius metus 25% darbuotojų samdymo ir visuomeninės paskirties žemės sklypas gali būti per šio. Daugiau...

15 octobre 2009

Pour la VAE, le Fongecif IdF signe un contrat de partenariat

http://www.fongecif-idf.fr/img/logo-fongecif.pngVAE : signature d'un contrat de démarche partenariale. Le 7 octobre 2009, le Fongecif Île-de-France a signé un contrat de démarche partenariale avec les représentants de cinq organismes accompagnateurs de VAE.
Les signataires de la démarche partenariale sont : * les DAVA / CAVA Île-de-France, * les Universités franciliennes, * l'AFPA Île-de-France, * l'IGS, * le CNAM.
Cette démarche partenariale, qui fait l'objet d'une expérimentation d'un an et demi, permettra au Fongecif de s'assurer de la qualité des prestations d'accompagnement qu'il finance.
Pour évaluer les coûts et la qualité des prestations proposées par les accompagnateurs de VAE, le Fongecif Île-de-France s'appuie sur une liste de 6 critères à respecter qui sont : * l'engagement dans une démarche qualité, * l'étude de la faisabilité du projet VAE, * les informations à transmettre au candidat en amont d'une démarche de VAE, * le respect d'une démarche en 4 phases, * l'évaluation.
Les organismes paritaires doivent ainsi prouver qu'ils sont engagés dans une démarche qualité reconnue, qu'ils étudient la faisabilité du projet du candidat avant de commencer l'accompagnement et qu'ils évaluent sa satisfaction à l'issue de leur collaboration.
http://www.fongecif-idf.fr/img/logo-fongecif.pngVAE: ondertekening van een contract van partnerschap.On October 7, 2009, heeft de Fongecif Ile de France tekende een partnerschap met vertegenwoordigers van vijf organisaties leiders van de VAE.
De ondertekenaars van het partnerschap aanpak zijn: DAVA / CAVA Ile-de-France, de Universiteiten franciliennes, AFPA Ile-de-France, GHI, CNAM. Meer...
14 octobre 2009

L'Assemblée adopte le texte de compromis sur la Formation professionnelle

Retour à la page d'accueilL'Assemblée a adopté, dans la nuit de mardi à mercredi, le texte de compromis députés/sénateurs sur la formation professionnelle qui vise à en faciliter l'accès aux demandeurs d'emplois ou aux salariés peu qualifiés.
UMP et NC ont voté pour, le PS et le PCF ont voté contre le texte élaboré par la commission mixte paritaire (CMP, sept députés, sept sénateurs).
Le Sénat se prononcera à son tour mercredi pour une adoption définitive du texte.
Sécurisation des parcours professionnels et simplification de la formation professionnelle sont les deux objectifs de ce texte défendu par le secrétaire d'Etat à l'Emploi, Laurent Wauquiez.
"Notre objectif n'a pas été de rechercher le grand soir mais de donner un coup de balai pour faire en sorte que la formation aille à ceux qui en ont avaient besoin", a fait valoir M. Wauquiez.
A la dernière minute, le gouvernement a fait voter un compromis sur l'accueil, à titre expérimental, des apprentis en rupture de contrat de travail dans des centres de formation d'apprentis (CFA).
En attendant de trouver un emploi, ils seront accueillis, durant deux mois (et non quatre, comme le proposait le Sénat) dans des CFA volontaires. Un comité de quatre élus (deux députés, deux sénateurs) évaluera cette expérience menée jusqu'au 31 octobre 2010.
A droite, Jean-Paul Anciaux (UMP) est resté "très réservé" car "c'est une idée généreuse mais dans la réalité, ce sera difficile". UMP et NC ont toutefois entériné l'amendment gouvernemental de même que la majorité du PS.
Même le PCF a apporté son soutien à cette mesure. Son orateur, Jean-Paul Lecoq a été cependant "déçu" par le reste du texte qu'il a jugé peu ambitieux "dans un contexte de crise et de complexification du marché du travail". Le président PS de l'association des régions de france (ARF), Alain Rousset a invité le gouvernement à créer un observatoire réunissant l'Etat, les régions et les partenaires sociaux, et doté d'une "triple tâche : évaluation, impulsion et réorientation".
Dans la majorité, Francis Vercamer (NC), tout en donnant l'aval de son groupe au texte, a regretté que, sur certains points, il soit resté "en deçà des attentes". Pour l'UMP, Claude Goasguen a jugé que ce texte "aura eu le mérite d'adapter la formation professionnelle à l'emploi" dans un contexte de "crise de l'emploi". Une crise qui justifie "le retour de l'Etat dans un secteur considéré par beaucoup comme définitivement acquis à la décentralisation".
Tillbaka till HemFörsamlingen antog, på natten mellan tisdag till onsdag, den kompromiss MPS / s senat om yrkesinriktad utbildning som syftar till att underlätta tillgången till arbetssökande eller arbetstagare med låg kompetens. UMP och NC röstade för PS och PCF röstade emot utarbetade texten genom gemensamma kommissionen (CMP sju ledamöter, varav sju senatorer). Mer...
13 octobre 2009

Table ronde sur le financement de l'enseignement à distance

Accueil FormasupVendredi 18 décembre 2009. Table ronde de 14h à 17h, accueil à partir de 13h30. La table ronde se tiendra au Ministère de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de la Mer (MEEDDAT), site de La Défense, dans la Grande Arche, à gauche en haut des marches, salle 1 au niveau 3.
Les établissements publics proposant de l'enseignement à distance, le Centre national d’enseignement à distance (le Cned), le Centre national de promotion rurale (le CNPR), les universités (le réseau FIED, Fédération Interuniversitaire de l’Enseignement à Distance, et le réseau universitaire de la formation continue), le CERIMES (pour son portail de formation à distance en ligne Formasup), ainsi que l'AGEFOS PME, vous invitent le vendredi 18 décembre 2009 après-midi, afin de préciser le cadre réglementaire du financement de l'EAD, offrir un panorama de leurs pratiques, et démontrer, grâce à des témoignages, la possibilité de mettre en place avec les entreprises un enseignement de qualité. Attention, le nombre de places est limité à 150.
Répondre à l'invitation à financement@cerimes.fr. Télécharger le programme.

defense1Programme prévisionnel, Animation : André Escure - Escure Consultant André Escure est l’un des négociateurs nationaux sur la réforme de la formation professionnelle Consultant en ingénierie de la formation professionnelle, il accompagne les entreprises dans toutes les phases de la gestion du plan de formation.
14h – 15h10 : première partie Etat des lieux et cadre réglementaire M Jean-Philippe CEPEDE, Directeur Juridique-Observatoire, Centre Inffo Yves Obre, directeur du C2RP Nord Pas de Calais Interventions institutionnelles : Direction des Ressources humaines du Ministères de l’agriculture (sous réserve) Bernard FALCK, Directeur de l’éducation et de la formation, MEDEF Marcel Brouard, CFE CGC Intervention de la salle et pause
15h30 - 17h : seconde partie Stratégie des structures publiques : Fédération Interuniversitaire de l’Enseignement à Distance : Gérard-Michel Cochard (UPJV Université de Picardie Jules Verne) Réseau FCU : Alain Nicolas, Directeur du service commun de la formation continue de l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines Centre national d’enseignement à distance : Sylvaine Roi, Directrice adjointe de la formation chargée de la formation tout au long de la vie Centre National de Promotion Rurale : Olivier Ferron, Directeur Intervention de la salle Les financements INTERFONGECIF Ile de France : David Mazurel, directeur du Fongecif Ile-de-France AGEFOS PME : Fédération des particuliers employeurs de France (Fepem) : Frédéric Haeuw Partenariat Paris3 (Jean-François Maynier) / Air France (Eric de Dreuzy, en charge du développement du e-Learning à Air France) Point de vue de l’UIMM (sous réserve) C2RP BOURGOGNE – Guy Sapin.
Conclusion Le nouveau président de l’ANDRH) Président du CPNFP, commission paritaire nationale de la formation professionnelle.

Home FormasupVineri, decembrie 18, 2009. Masă rotundă va avea loc la Ministerul Ecologiei, Energiei, Dezvoltării Durabile şi Marea (MEEDDAT), site-ul de La Défense, Grande Arche în, stânga sus pe scări, camera 1, la nivel 3 .
Instituţiile publice care oferă învăţământ la distanţă, Centrul Naţional pentru Învăţământul la Distanţă (CNED), Centrul Naţional pentru Progresul Rurală (NCPC), universităţilor (de reţea FIED Federaţia Interuniversitar Învăţământul la Distanţă şi reţeaua de formare universitare), CERIMES (pe portalul său pentru invatamant la distanta Formasup on-line), precum şi AGEFOS IMM-urilor va invita vineri, decembrie 18, 2009 dupa-amiaza pentru a clarifica cadrul de reglementare de finanţare a DEE, oferind o imagine de ansamblu a practicilor lor, şi să demonstreze, prin mărturie, posibilitatea de a înfiinţa societăţi cu educaţie de calitate. Atenţie, locuri este limitat la 150. Ca răspuns la invitaţia de participare la financement@cerimes.fr. Descărcare program. Mai mult
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12 octobre 2009

Le diplôme plus que jamais nécessaire pour réussir en France

Eric Maurin : "Toute réforme sera perçue comme une remise en cause d'un statut acquis". irecteur d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), Eric Maurin publie La Peur du déclassement (Le Seuil, "La République des idées") un essai décapant et passionnant sur les peurs françaises.
Pourquoi le déclassement est-il devenu la préoccupation majeure en France ?
Il faut distinguer le déclassement et la peur du déclassement. Le déclassement est une réalité qui touche la société à la marge. Alors que nous traversons une des pires récessions de notre histoire, le nombre de salariés ayant perdu un emploi stable dans les 12 derniers mois est, par exemple, de l'ordre de 300 000 personnes. Sur un plan personnel et familial, ces licenciements représentent un drame, mais ils ne concernent cependant qu'une toute petite fraction de la société, à peine 1% de la population active totale. L'immense majorité des Français reste en fait à l'abri de la déchéance sociale. A l'inverse, la peur du déclassement est ressentie par l'ensemble de la société, y compris par les classes moyennes et supérieures, celles qui ont le plus à perdre. Cette peur est la conséquence de politiques publiques qui, depuis cinquante ans, ont systématiquement privilégié la protection de ceux qui ont déjà un emploi plutôt que le soutien de ceux qui n'en ont pas. Progressivement s'est constitué un rempart de droits sociaux entre les salariés à statut (CDI) et la précarité sociale. L'aspect positif, c'est que les salariés en place ont été de mieux en mieux protégés. L'aspect négatif, c'est que cette barrière est devenue de plus en plus difficile à franchir pour tous les autres. Les salariés à statut en ont bien conscience qui craignent plus que tout de tomber de l'autre côté de la barrière. Plus les statuts sont protégés, moins souvent on les perd, mais plus on perd quand ils disparaissent.
Comment a émergé cette société de statut ? Dans notre vieille société hiérarchique, la dignité sociale est historiquement attachée à la conquête et à la conservation d'un statut. C'est un phénomène qui n'a guère d'équivalent dans les pays anglo-saxons ou scandinaves. Ce qui a changé depuis l'Ancien Régime, c'est que les statuts ne s'héritent plus de père en fils, mais doivent se reconquérir à chaque génération, au terme d'une lutte généralisée. Dans un tel contexte, chacun commence sa vie avec la crainte de ne jamais trouver sa place, et la finit avec l'angoisse de voir les protections chèrement acquises partir en fumée ou ne pas pouvoir être transmises à ses enfants. Une telle société est particulièrement difficile à transformer, parce que toute réforme paraît léser une génération au profit d'une autre.
L'angoisse scolaire n'a jamais été aussi forte. Pourquoi ?
On fait un contresens total lorsqu'on avance que la valeur des diplômes se serait réduite. C'est l'inverse: jamais les diplômes n'ont été aussi déterminants pour l'obtention de statuts au sein de la société.
En 2008, le chômage parmi les diplômés du supérieur est inférieur à 10%. Pour les non diplômés, il monte à 50 %, soit un écart de 40 points. La différence n'était que de 10 points au milieu des années 1970.
L'impératif de ne pas échouer à l'école est devenu écrasant. L'enjeu de la compétition scolaire n'a jamais été aussi élevé, les diplômes ont pris une valeur exorbitante. C'est particulièrement angoissant pour les familles. 

Eric Maurin: "Any reform would be perceived as a challenge to a status acquired. Director of study at the Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS), Eric Maurin published Fools for déclassement (Le Seuil, "La République des idées") a stripper and exciting test on French fears.
Why the downgrade did he become the major concern in France? We must distinguish the decommissioning and fear of decommissioning. The downgrade is a reality that affects society at the margin.While we are experiencing one of the worst recessions in history, the number of employees who lost a stable job within 12 months, for example, about 300 000 people. On a personal level and family, these redundancies are a tragedy, but they do relate, however, only a tiny fraction of society, only 1% of the total workforce. The vast majority of French is in fact free from social decay. More...

Pourquoi les jeunes sont-ils les premiers touchés lors des crises en France ?
L'attachement d'une société aux statuts et aux rangs a pour contrepartie la relégation des nouveaux arrivants. Or, les nouveaux arrivants, ce sont les jeunes. Avant de s'assurer une place sur le marché du travail et dans la société, ils ont toujours dû patienter. Le paradoxe est qu'une fois arrivés au pied de l'échelle sociale, les jeunes eux-mêmes défendent ce système. C'est ainsi que j'analyse le refus du CPE en 2006 : les jeunes ne voulaient surtout pas qu'on dévalue ce qu'ils cherchaient tant à obtenir.
La fonction publique est à l'abri des risques de déclassement. Pourtant, la peur du déclassement y est aussi très forte. Pourquoi ?
La crise de 1993 est la première à frapper la France après qu'elle a massifié son enseignement secondaire et supérieur. On assiste alors à une augmentation, limitée mais bien réelle, du chômage des diplômés. Craignant un déclassement irréversible, une génération entière de diplômés se tourne alors en masse vers la fonction publique pour sécuriser ses investissements scolaires.
Dans les années qui précèdent 1993, 10 % à peine des diplômés allaient dans le public; après 1993, la proportion grimpe à 50 %. Cet afflux crée un formidable embouteillage et accroît fortement la proportion de jeunes surdiplômés dans l'administration. Face à la récession, une génération a échangé ses diplômes non pas contre une qualification, mais contre une protection. Cela portait en germe le risque d'une radicalisation, notamment parmi les classes moyennes du public.
Pour quelles raisons ?
Tout projet de réforme de l'Etat sera désormais perçu comme une remise en cause intolérable d'un statut légitimement et chèrement acquis. Les effets seront durables.
D'abord le mouvement social de 1995 : on se trompe si on interprète ce mouvement comme le cri de détresse de personnes qui auraient perdu leur statut social. C'est au contraire la mobilisation de salariés, particulièrement de fonctionnaires, qui savent qu'ils ont atteint un objectif très précieux et qui mettent toute leur force pour défendre cet acquis.
Ensuite sur la perception de la construction européenne : la clé de l'évolution du oui au traité de Maastricht, vers le non au traité constitutionnel, en 2005, réside dans le basculement des classes moyennes du public. En 1992, elles avaient majoritairement voté oui. En 2005, elles ont voté non.
Ces catégories du public se sentent désormais agressées par les réformes libérales portées par l'Europe. D'où cette convergence inédite entre classes moyennes du public et du privé qui se retrouvent dans le rejet des projets portés par les élites. C'est désormais une coupure fondamentale dans la vie politique et sociale du pays.
Ce scénario se reproduit-il avec la crise actuelle ?
Rien n'indique qu'il pourrait en aller autrement. D'une part parce que la proportion de diplômés est plus élevée aujourd'hui qu'en 1993. D'autre part parce qu'apparaissent, en 2009 comme en 1993, des signaux très négatifs sur le marché de l'emploi pour les jeunes diplômés.
Comme, par ailleurs, les périodes de récession se traduisent par des difficultés budgétaires pour l'Etat, le gouvernement poursuivra probablement la réduction des budgets publics. Donc une politique "agressive" vis-à-vis des fonctionnaires. On peut penser que, de leur côté, les nouveaux entrants dans la fonction publique seront, plus que jamais, attachés à la défense de ce qu'ils ont tant bataillé – eux et leurs familles – pour obtenir : un statut, une protection.
Qui est le mieux armé idéologiquement, entre la droite et la gauche, pour répondre à ces peurs sociales ?
J'ai été frappé, lors des dernières élections, par les discours de Nicolas Sarkozy sur les valeurs, donc sur la défense des statuts sociaux implicites au sein de la société. Ce discours était efficace, y compris chez des enseignants de gauche, mobilisés par cette forme de conservatisme qui pouvait leur sembler rassurant.
La gauche, elle, se trouve dans une situation plus délicate. Notamment le Parti socialiste: il lui faut à la fois continuer à satisfaire ceux qui composent le cœur de ses militants, de ses élus, de sa clientèle électorale –qui bénéficient majoritairement de statuts protégés (CDI, fonction publique)– et se tourner vers les classes populaires, non protégées.
La crise du PS s'explique certes à travers les dissensions internes, mais cette question de fond me paraît bien plus centrale: comment rassurer ceux qui ont peur de perdre leur statut sans désespérer davantage ceux qui n'en ont aucun ? Jusqu'à présent, le PS n'a pas résolu cette équation.
Quelles sont les réponses possibles ?
La difficulté est que déclassement et peur du déclassement appellent des réponses totalement opposées. Pour conjurer le déclassement, les politiques sont contraints de renforcer les protections dont bénéficient déjà les salariés les plus protégés. Ainsi en va-t-il de la proposition récente de la gauche de réintroduire l'autorisation administrative de licenciement.
A l'inverse, pour lutter contre la peur du déclassement, il faut réduire l'écart gigantesque entre ceux qui sont protégés et les autres, car c'est ce gouffre qui est le principe même de la peur. On voit bien que ces deux politiques sont largement incompatibles. On voit bien, aussi, qu'au-delà de mesures techniques, ces questions touchent aux fondements mêmes de la société.
Je n'ai pas de solution miracle. Mais il me semble qu'une société où ce qui s'acquiert et ce qui se perd seraient moins irréversibles, moins définitifs, pourrait constituer un progrès. Une société où les protections sont davantage universelles et moins étroitement sélectives.
Propos recueillis par Luc Bronner et Catherine Rollot

11 octobre 2009

Les soutiers de l'université

En dix minutes, son sort a été scellé. Michelle (le prénom a été modifié) ne fera pas sa rentrée à l'université de province où elle enseignait depuis deux ans. L'affaire s'est réglée entre deux portes, fin juin. "Vos heures ne seront pas renouvelées, en septembre", lui a asséné le responsable du département de langues. On ne s'embarrasse pas d'explications avec les enseignants "non permanents" comme elle.
A côté des 57500 enseignants-chercheurs qui bénéficient du statut de fonctionnaires, combien sont-elles, ces petites mains de l'université qui, comme Michelle, cohabitent dans l'ombre des maîtres de conférence et professeurs d'université titulaires ? Personne ne le sait vraiment. Le ministère de l'enseignement supérieur recensait en 2007-2008, près de 23000 enseignants "non permanents", soit 26 % des personnels enseignants.
Sans statut, leur parcours professionnel est souvent chaotique, rythmé par les besoins de l'université. "J'ai commencé comme "faux vacataire", payé à l'heure", explique William Charton. Puis il obtient un premier CDD ; d'autres suivront. Pour boucler ses fins de mois, en plus de ses 400 heures de cours par an, il cumule les heures "complémentaires" dans plusieurs universités. "Parfois jusqu'à 800 heures", dit-il. Salaire moyen : 1 500 euros net. Il y a deux ans, il a obtenu un CDI à l'université Nancy-II. "Le salaire est le même, pour un peu moins d'heures et plus de sécurité." Après son master, "enseigner en FLE a été un choix". Mais beaucoup de ses collègues ont décroché. "Il y en a un qui est devenu coiffeur, un autre qui est parti à l'étranger, je suis l'un des seuls à avoir tenu le coup pendant si longtemps."

In ten minutes, his fate was sealed. Michelle (the real name) will not make his return to the provincial university where she taught for two years. The case was settled between two doors in late June "Your hours will not be renewed in September, he has dealt the Department official languages. It does not bother with explanations of teachers' non-permanent "like her.
Besides the 57,500 teachers and researchers who have the status of officials, how are they, these little hands of the university, like Michelle, live in the shadow of lecturers and university professors?
Nobody really knows. The Ministry of Higher Education listing in 2007-2008, nearly 23,000 teachers "not permanent", or 26% of teaching staff. More...

10 octobre 2009

L'Enseignement Supérieur dans la LOLF 2010

Emploi et formation dans le projet LOLF 2010. Voir le document utilisé: Crédits et missions. Le projet LOLF 2010.
Recherche et enseignement supérieur
Autorisations d’engagement : 25,43 milliards d’euros. Crédits de paiement : 24,81 milliards d’euros. Emplois de l’État : 53 513 équivalents temps plein travaillé (ETPT). Emplois des opérateurs : 203 561 équivalents temps plein (ETP).
La mission interministérielle « Recherche et enseignement supérieur » (MIRES) constitue la première priorité budgétaire du Gouvernement. L’ensemble des moyens alloués à ce secteur progresse de plus de 1,8 milliard d’euros en 2010, conformément aux engagements pris. Cet effort se concrétise par des vecteurs de financement adaptés aux enjeux du secteur: - des moyens d’engagement en faveur de l’ensemble des établissements et des dispositifs de recherche et d’enseignement supérieur, en progression, à périmètre constant, hors partenariats public-privé (PPP), de 649 millions d’euros; - une progression des dispositifs fiscaux en faveur de la recherche et l’enseignement supérieur, dont le crédit d’impôt recherche (CIR), de 565 millions d’euros. S’ajoutent à cet effort des financements innovants en faveur de l’immobilier des universités : les partenariats public-privé (PPP) pour 421 millions d’euros et les produits financiers destinés à l’opération « Campus » pour 164 millions d’euros.
La MIRES est désormais composée de dix programmes relevant de six ministères. Les objectifs associés à cette mission sont la satisfaction des besoins de qualifications supérieures, l’égalité des chances, qui s’appuie sur une politique d’aide sociale rénovée et sur une orientation plus efficace, l’insertion professionnelle des étudiants, la définition d’une stratégie nationale de recherche et d’innovation, l’attractivité du territoire français et l’excellence en matière de recherche afin de contribuer à la croissance et soutenir la recherche et l’innovation au sein des entreprises. Elle regroupe l’ensemble des moyens en faveur de la politique nationale de recherche et d’enseignement supérieur, soit : - les moyens consacrés par l’État aux missions de formation et de recherche dévolues aux établissements d’enseignement supérieur relevant du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MESR), ainsi que toutes les aides qui concourent à la vie étudiante ; - les moyens alloués aux organismes de recherche relevant du MESR, aux organisations internationales de recherche, ainsi qu’aux divers dispositifs relatifs à la diffusion des savoirs, à la formation par la recherche et à la valorisation de la recherche ; - les moyens alloués à la politique d’enseignement supérieur, de recherche et de soutien à l’innovation des autres ministères participant à la mission.
Sysselsättning och utbildning Project LOLF 2010. Se de dokument som används: Anslag och tjänsteresor. LOLF Project 2010.
Recherche et enseignement supérieur Forskning och högre utbildning
Myndigheter Åtagande: 25.43 miljarder euro. Betalningar: 24.81 miljarder euro. Statliga jobb: 53 513 motsvarande heltids-arbete (ETPT). Jobs aktörer: 203 561 heltidsekvivalenter (heltidsekvivalenter). Mer...
10 octobre 2009

La procédure de reconnaissance des diplômes étrangers a changé le 1er septembre 2009

http://www.ciep.fr/enic-naricfr/images/logo_EnicNaric.jpgA compter du 1er septembre 2009, le centre ENIC-NARIC France délivre, lorsque l'étude d'un dossier le permet, une attestation de comparabilité pour un diplôme obtenu à l'étranger.
Les dossiers enregistrés avec une référence auprès du Département de Reconnaissance des Diplômes, en cours de traitement ou complétés après le 31 août 2009, et dont l'examen sera positif, feront l'objet d'une attestation de reconnaissance de niveau d'études.
Attention : pour des raisons techniques, un dossier antérieur au 1er septembre ne pourra faire l'objet d'une demande de traitement similaire à celle en vigueur à compter du 1er septembre.
Le centre ENIC-NARIC (European Network of Information Centres – National Academic Recognition Information Centres) France est le centre français d’informations sur la reconnaissance académique et professionnelle des diplômes.
* Il établit des attestations de comparabilité pour un diplôme(s) obtenu(s) à l'étranger
* Il informe sur les procédures à suivre pour exercer une profession réglementée
* Il renseigne sur la procédure de reconnaissance des diplômes français à l’étranger.
http://www.ciep.fr/enic-naricfr/images/logo_EnicNaric.jpg A compter du 1er septembre 2009 , le centre ENIC-NARIC France délivre, lorsque l'étude d'un dossier le permet, une attestation de comparabilité pour un diplôme obtenu à l'étranger .
विदेशी साख की पहचान की प्रक्रिया 1 सितम्बर 2009 पर बदल गया है. 1 सितम्बर 2009 के साथ, ENIC-NARIC फ्रांस जब एक मामले परमिट का अध्ययन, एक हद तक comparability का एक प्रमाण पत्र मुद्दों विदेशों में प्राप्त से प्रभावी. डिप्लोमा की मान्यता, प्रक्रिया में के लिए विभाग के संदर्भ के साथ दर्ज की फ़ाइलों या 31 अगस्त, 2009 के बाद पूरी की, और जिनकी परीक्षा सकारात्मक है, शिक्षा प्राप्ति की मान्यता का एक प्रमाण पत्र प्राप्त करेंगे. अतिरिक्त...
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