08 octobre 2009

Palmarès 2009 du Times Higher Education–QS

http://jd2-953ef2bb1db6cca968e2ec96a949ce09-us.s3.amazonaws.com/multimedia.topuniversities.com/drupal-files/logo.gifPar Mathieu OUI (L'Etudiant).
Les établissements français d'enseignement supérieur se maintiennent dans le classement 2009 du palmarès international des universités du Times Higher Education-QS. Le premier d’entre eux, l’ENS de Paris demeure à la 28e place, Polytechnique recule de deux places (36 contre 34 en 2008) et Pierre et Marie Curie (UPMC) remonte de 32 places (117 en 2009 contre 149 en 2008). L'ENS Lyon figure au 126ème rang et gagne 14 places.
L’édition 2009 du palmarès international des universités du Times Higher Education-QS, marque la montée en puissance des établissements européens et asiatiques au détriment de leurs homologues américains. Par rapport à l’édition 2008, ces derniers ont perdu huit places dans le top 100, au profit notamment de trois universités européennes et de deux asiatiques. «Globalement cette sixième édition est marquée par une certaine stabilité par rapport aux années précédentes, indique Ben Sowter, responsable de l’enquête pour la société QS (Quacquarelli Symonds). Ceux qui bénéficient des plus belles remontées ont fait beaucoup d’efforts notamment en matière de recherche et de réputation auprès des employeurs. » Le palmarès est établi à partir de six critères : recommandations académiques des pairs, recommandations des employeurs, ratio étudiant par enseignant, nombre de publications de recherche par enseignant, et enfin, pourcentages d’étudiants et d’enseignants étrangers.
Nouveauté de cette sixième édition du palmarès : l’introduction d’une classification basée sur trois grandes caractéristiques : nombre d’étudiants, offre de formations et importance de la recherche. « Nous avons tenu compte des critiques nous reprochant de comparer des établissements très divers », indique Ben Sowter. Au total, cette typologie comporte 48 catégories d’établissements, de la grosse université (plus de 12 000 étudiants) pluridisciplinaire et médicale avec une très haute activité de recherche (catégorie A1) à la petite université (moins de 5000 étudiants) spécialisée (deux disciplines représentées sur un maximum de 5) et sans activité de recherche (catégorie L4). Parmi les établissements du top 200, 113 appartiennent à  la première catégorie A1 et 23 sont rattachés à la catégorie A2.
http://jd2-953ef2bb1db6cca968e2ec96a949ce09-us.s3.amazonaws.com/multimedia.topuniversities.com/drupal-files/logo.gifLes institucions d'ensenyament superior francesos segueixen en la classificació del rànquing del 2009 internacional de les universitats en la educació Times Higher-QS. El primer d'ells, ENS de París es manté en el lloc 28, Politècnica de nou dos llocs (36 contra 34 en 2008) i Pierre i Marie Curie (UPMC) procedien de 32 llocs (117 el 2009 contra 149 el 2008 ). L'ENS de Lyon és a 126 lloc i va guanyar 14 escons. Més...

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Scepticisme français sur l'intérêt de la formation continue

Retour à la page d'accueil82% des Français estiment que la formation continue ne protège pas de la crise, contre 55% des Danois, selon une enquête comparative réalisée par l'Ofem (Observatoire de la formation de l'emploi et des métiers) pour la chambre de commerce et d'industrie de Paris. De même, seulement 18% des Français pensent que la formation les protège d'un licenciement économique, alors que 62% des Danois partagent cet avis. L'étude permet un regard croisé entre deux pays qui ont développé la formation continue de manière différente: Le Danemark est classé par l'OCDE en tête des pays formateurs avec en moyenne 934 heures de formation dispensées aux salariés tout au long de leur carrière, contre 713 heures pour la France. Selon l'Ofem, le Danemark se caractérise notamment par une "flexicurité": un taux de mobilité des salariés qui atteint 30% chaque année, avec "25% de la population qui passe chaque année par une période de chômage généralement courte", et une durée moyenne dans la même entreprise de 8 ans. Cette flexibilité est compensée par une "réelle sécurisation des parcours", avec 90% des Danois couverts contre le risque de chômage, et un développement important de la formation continue. Tous âges confondus, plus de 35% des salariés danois suivent chaque année une formation. Selon l'étude, pour les salariés français, la formation est avant tout au bénéfice de l'entreprise (85%), même si elle développe également des compétences et savoir-faire pour son projet professionnel (72%) et enrichit le CV (75%). Pour le salarié danois, elle est à la fois au bénéfice de l'entreprise (78%) et du salarié (79%), et elle permet avant tout d'enrichir son CV (86%) et de développer son employabilité (69%). La plupart des salariés (76% des Français, 73% des Danois) affirment que la crise n'a pas modifié leur vision de la formation continue, mais pour 59% des Danois et seulement 42% des Français elle est devenue plus nécessaire aujourd'hui qu'avant la crise.
Sondage réalisé auprès d'un échantillon représentatif de 964 salariés français et 505 salariés danois, interrogés par internet selon la méthode des quotas, du 17 au 22 juin, avec des marges d'incertitude de 2 à 3 points pour un échantillon de 1.000 répondants et de 3 à 4 points pour un échantillon de 500 répondants.
홈으로 돌아가기프랑스어의 82 %가 지속적인 교육, 덴마크의 55 %에 대한 위기를 보호하지 않으면, 비교 조사 Ofem (전망대 훈련 및 고용 기술직 년)에 의해 상공 회의소 및 조사에 따르면 믿어 산업 파리. 반면 덴마크의 62 %는이 관점에 동의 마찬가지로, 프랑스의 18 %만이 훈련 이중화 보호, 믿습니다. 연구 결과, 두 나라 사이에 서로 다른 방법으로 훈련을 개발한 새로운 관점 : 덴마크 OECD 국가의 교육 934시간 직원에게 자신의 경력을 통해 제공되는 평균 트레이너를 선도하여 순위를 제공합니다 죄수 프랑스 7백13시간. Ofem에 따르면, 덴마크 "flexicurity"에 의해 특징 : "전체 인구의 25 %와 사람은 매년 30 %에 도달 직원의 이동성 평가, 매년 지출 실업 기간은 일반적으로 짧은 의해 같은 8 년간의 평균적인 회사. 더많은...

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