28 août 2009
Le nouveau PRES Bourgogne et Franche-Comté
Les universités de Bourgogne et Franche-Comté ont créé un Pôle de recherche et d'enseignement supérieur commun (PRES) "pour répondre au monde économique, aux objectifs d'emplois et aux problèmes des collectivités territoriales", a indiqué vendredi Florence Legros, recteur de Dijon.
Ces deux universités, qui vont accéder au statut d'autonomie au 1er janvier 2010, ont officialisé la création de ce PRES le 10 juillet dernier à Dole, dans le Jura.
Ce PRES, qui pourrait se présenter sous forme de "fondations partenariales", représente un rapprochement interrégional "pour répondre aux besoins du monde économique, aux objectifs d'emploi des bassins locaux et aux problèmes des collectivités territoriales", a souligné Mme Legros lors d'un entretien avec l'AFP. Ces deux universités prévoient au sein de ce PRES, la "co-habilitation des diplômes", ainsi que "des pôles de recherches en commun pour assurer une dimension internationale" à cette nouvelle entité, a ajouté le recteur. Selon Mme Legros, "la fusion de ces deux universités" n'est pas à l'ordre du jour. De son côté le groupe Modem du conseil municipal de Besançon a demandé, vendredi dans un communiqué "la création d'un comité de surveillance de cette fusion pour que l'enseignement supérieur de Franche-Comté ne soit pas cannibalisé par les Bourguignons".
Le pôle regroupera près de 50.000 étudiants (27.000 à Dijon et 23.000 à Besançon), dont 1.800 doctorants et 2500 enseignants-chercheurs. D'autres grandes écoles, comme "l'Ecole supérieure de commerce (ESC) de Dijon, l'Ecole nationale supérieure d'arts et métiers (ENSAM) de Cluny (Saône-et-Loire) et l'Institut universitaire de technologie (IUT) de Belfort-Montbéliard" pourraient rejoindre le PRES.. Voir aussi: BFCU.
Ces deux universités, qui vont accéder au statut d'autonomie au 1er janvier 2010, ont officialisé la création de ce PRES le 10 juillet dernier à Dole, dans le Jura.
Ce PRES, qui pourrait se présenter sous forme de "fondations partenariales", représente un rapprochement interrégional "pour répondre aux besoins du monde économique, aux objectifs d'emploi des bassins locaux et aux problèmes des collectivités territoriales", a souligné Mme Legros lors d'un entretien avec l'AFP. Ces deux universités prévoient au sein de ce PRES, la "co-habilitation des diplômes", ainsi que "des pôles de recherches en commun pour assurer une dimension internationale" à cette nouvelle entité, a ajouté le recteur. Selon Mme Legros, "la fusion de ces deux universités" n'est pas à l'ordre du jour. De son côté le groupe Modem du conseil municipal de Besançon a demandé, vendredi dans un communiqué "la création d'un comité de surveillance de cette fusion pour que l'enseignement supérieur de Franche-Comté ne soit pas cannibalisé par les Bourguignons".
Le pôle regroupera près de 50.000 étudiants (27.000 à Dijon et 23.000 à Besançon), dont 1.800 doctorants et 2500 enseignants-chercheurs. D'autres grandes écoles, comme "l'Ecole supérieure de commerce (ESC) de Dijon, l'Ecole nationale supérieure d'arts et métiers (ENSAM) de Cluny (Saône-et-Loire) et l'Institut universitaire de technologie (IUT) de Belfort-Montbéliard" pourraient rejoindre le PRES.. Voir aussi: BFCU.
Universităţile de Bourgogne şi de Franche-Comté au creat un centru de cercetare şi de comune de învăţământ superior (PRES), "pentru a aborda economică mondială, obiectivele de locuri de muncă şi probleme ale autorităţilor locale", a declarat vineri Florenţa Legros, Rector Dijon. Aceste două universităţi, care va intra statut autonom la 1 ianuarie 2010, formalizată crearea de luna iulie a acestui ESRP ultimii 10 la Dole în Jura. Mai mult...
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