26 juin 2009
Signature d'une convention pour organiser les relations entre établissements d'enseignement supérieur et profession bancaire

Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, a signé, jeudi 25 juin à l'Université de Cergy Pontoise, une convention avec Ariane Obolensky, Directrice Générale de la Fédération bancaire française, et en présence de Michel Pébereau, Président du Conseil d'administration de BNP Paribas, afin d'organiser, faciliter et renforcer les relations entre les établissements d'enseignement supérieur et la profession bancaire.
Cette convention, qui s'appuie sur les nombreuses bonnes pratiques existant déjà à ce titre dans vingt-cinq établissements d'enseignement supérieur, a pour objectif de permettre aux universités et aux écoles de mieux prendre en compte les besoins réels de l'industrie bancaire dans toutes les étapes de la formation tout au long de vie, tant en formation initiale qu'en formation continue. Elle s'inscrit dans le cadre des travaux de la mission conduite par Jean-Pierre Philippe sur la place de l'enseignement supérieur tout au long de la vie.
Enfin, Valérie Pécresse a rappelé le rôle clé de la formation professionnelle et de la formation tout au long de la vie, et « la vocation grandissante et cruciale des universités à devenir l'un des acteurs majeurs de la formation continue », axe que cette convention permet d'affirmer s'agissant des métiers du secteur bancaire.

AGEFOS PME RHÔNE-ALPES: "VAE puissance 2"

A chaque étape du parcours, AGEFOS PME vous accompagne avec des interlocuteurs spécialisés.
Ces interlocuteurs relais sont le point fort de ce dispositif.
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Pour s'informer sur la VAE puissance 2 : Télécharger la plaquette de présentation VAE puissance 2.
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L’investissement dans l’enseignement supérieur en France doit-il augmenter ?

La France dépense 1,3 % de son produit intérieur brut pour financer l’enseignement supérieur alors que les pays de l’OCDE y consacrent en moyenne 1,5 %. Ce résultat s’explique non pas tant par un moindre accès des jeunes à l’enseignement supérieur dans notre pays, mais par une dépense par étudiant plus faible que dans les grands pays développés. Dans la majorité des pays de l’OCDE, le financement public, tout en restant prépondérant tend à diminuer ; les ménages (les étudiants ou leurs parents) et les entreprises (souvent par le truchement de fondations et le développement des coopérations avec les établissements dans le domaine de la recherche) sont davantage mobilisés. La France fait partie des pays où les frais de scolarité sont peu élevés, mais où les étudiants qui perçoivent des aides, sous formes de bourses ou de prêts, ne sont pas les plus nombreux. À l’horizon de dix ou quinze ans, une augmentation des dépenses consacrées à l’enseignement supérieur paraît nécessaire. Si les projections laissent prévoir une stabilité des effectifs étudiants, un rattrapage concernant la dépense moyenne par étudiant contribuerait à améliorer la performance des formations supérieures. Cette note donne des ordres de grandeur de l’effort financier qu’impliquerait un alignement sur la dépense par étudiant dans les pays où le niveau du PIB par habitant est comparable à la France. Elle en explore également les implications sur le modèle de financement de l’enseignement supérieur.



L’adoption d’un nouveau modèle de financement et l’accroissement des moyens ne constitue pas une condition suffisante pour l’amélioration de la qualité de l’offre de formation. Dépenser plus ne dispense pas de la nécessité de dépenser mieux, notamment par la recherche d’une meilleure structuration de l’offre des formations supérieures et des activités de recherche. Ces exigences se trouveront renforcées par les fortes attentes des parents et des étudiants en termes d’accès, de qualité de la formation et des conditions d’étude, d’amélioration des taux de réussite et de bonne insertion professionnelle. Sans amélioration de la qualité de la formation supérieure, la convergence, même relative, du coût des études supporté par les ménages en France avec celui observé dans les autres pays de l’OCDE pourrait également conduire davantage d’étudiants à poursuivre leurs études à l’étranger.

Γαλλία δαπανά 1,3% του ακαθάριστου εγχώριου προϊόντος της για τη χρηματοδότηση της τριτοβάθμιας εκπαίδευσης, ενώ οι χώρες του ΟΟΣΑ δαπανούν κατά μέσο όρο 1,5%. Το αποτέλεσμα αυτό δεν ήταν τόσο πολύ μικρότερο νεολαίας την πρόσβαση στην τριτοβάθμια εκπαίδευση στη χώρα μας, αλλά με χαμηλότερες δαπάνες ανά σπουδαστή από ό, τι στις μεγάλες ανεπτυγμένες χώρες. Περισσότερα...
Les licenciés économiques vont bénéficier d’une formation d’un an

