Le supérieur toujours derrière le secondaire, la France en dessous de la moyenne des pays de l'OCDE
La DEPP a publié, le 27 mai 2009, une note d’information récapitulant l’effort public en matière d’éducation pour cette même année 2007.
En 2007 la France a consacré 125,3 milliards d’euros à son système éducatif, soit 6,6%de son PIB et 1 970 euros par habitant. En 2005, la France se situe un peu au-dessus de la moyenne des pays de l’OCDE (5,8%) avec 6% de son PIB consacré à l’éducation, hors formation continue.
La dépense moyenne par élève ou étudiant est de 7 470 euros : 5 350 euros pour un écolier (4 970 euros dans le préélémentaire, 5 440 euros dans l’élémentaire) ; 8 870 euros pour un élève du secondaire, soit 7 930 euros pour un collégien, 10 240 euros et 10 740 euros, respectivement, pour un lycéen général et technologique ou professionnel, 10 150 euros pour un étudiant, dont 8 970 euros en université (hors IUT) après prise en compte de la recherche universitaire, 9 020 euros en IUT, 13 360 euros en STS et 13 880 euros en CPGE. La part du secondaire (42,7%) tend à décroître, celle du supérieur (19%) progresse de 4,3 points depuis 1980. L’État reste le premier financeur initial de l’éducation (62%), devant les collectivités territoriales dont la part (22,8%) a augmenté de 8,6 points depuis 1980.
Les contributions respectives des différents acteurs économiques varient selon le niveau d’enseignement. La part de l’État est encore plus importante pour l’enseignement supérieur (72,6%), les collectivités prennent en charge 10,7% du financement de la dépense d’éducation, les ménages assurent 9% de celui-ci (notamment en s’acquittant des frais de scolarité dans les établissements d’enseignement supérieur privés). Les entreprises contribuent au financement pour environ 6 %.
La France, avec moins de 11000 dollars, reste en dessous de la moyenne des pays de l’OCDE pour la dépense par étudiant (11 510 dollars).
The Depp julkaistiin 27. toukokuuta 2009 briefing huomautus yhteenvedon vaivaa julkisen koulutuksen vuodelle 2007. Ranskassa, joissa on vähemmän kuin 11000 dollaria, edelleen alle keskimäärin OECD-maissa menot opiskelijaa kohti (11 510 dollaria). Lisää...
Position de la CPU sur les procédures d’admission des étudiants chinois dans les universités françaises
La Commission des Relations Internationales et Européennes réunie le 27 mai 2009 a étudié les procédures d’admission des étudiants chinois en vigueur dans les universités françaises. Afin de se prémunir contre un certain nombre de dérives en cours et de préserver l’attractivité de la France comme destination d’études à l’étranger pour les étudiants chinois, la CORIE a voté à l’unanimité la mise en place de nouvelles modalités d’admission des étudiants chinois.
Dans un courrier daté du 27 avril 2009, l’Ambassade de France en Chine a effectivement appelé l’attention de la CPU sur la révision nécessaire des procédures d’admission des étudiants chinois dans les universités françaises : « les préinscriptions en spécialités dans les universités françaises sont malheureusement trop souvent conditionnées à l’accord d’une commission pédagogique qui ne se réunit qu’au terme de la période de préparation que doit suivre l’étudiant dans un centre FLE (85% du flux total), soit souvent plus d’un an après l’arrivée de celui-ci en France ».
La CPU recommande aux universités de favoriser la mobilité sous convention interuniversitaire plutôt que la mobilité individuelle des étudiants. Les partenariats avec des établissements chinois doivent donc être une priorité de manière à offrir de meilleures conditions de réussite aux étudiants en France. Les procédures d’audition des candidats chinois sur place, déjà effectuées par plusieurs universités françaises, apportent dans ce cadre une garantie supplémentaire tant pour l’étudiant que pour l’établissement d’accueil. La CPU encourage les universités à généraliser, dans la mesure du possible, ces entretiens.
Dans tous les cas, la CPU recommande fortement aux universités de procéder à une inscription à une formation diplômante incluant si nécessaire une année préparatoire linguistique et culturelle, afin d’éviter toute ambiguïté vis-à-vis des candidats à l’entrée sur le territoire.
位置的CPU上的程序,接纳中国学生在法国大学. 在国际关系委员会和欧洲会议上2009年5月27日审查的程序,接纳中国学生在部队的法国大学。 为了防止一些正在进行的侵犯和维护的吸引力,法国作为留学目的地的中国学生, Corie一致表决通过建立新的模式接纳留学生. 伙伴关系中的机构应当是一个优先事项,以便提供更好的条件为学生的成功在法国。 听证会程序中的候选人在现场,已经作出了一些法国的大学,在这一框架内提供额外的保障学生及为主办机构. 在所有情况下, CPU的强烈建议大学作出进入一个文凭,其中包括在必要时筹备一年的语言和文化,避免任何含糊方面的候选人进入领土. 更多...
La formation continue universitaire connaît un bilan positif

Principal enseignement de ce rapport : les formations courtes (moins de 100 heures) progressent. Elles réunissent près d’un tiers des inscrits (29 %), au détriment des formations conduisant à un diplôme d’université qui n’attirent plus qu’un stagiaire sur cinq en 2006 (19 %) contre un sur quatre en 2004 (24 %). Les diplômes nationaux, titres RNCP et formations d’ingénieurs restent cependant en tête des demandes avec 26 % des inscrits. Alors que la durée des formations suivies par les salariés diminue (130 heures), celle des particuliers (96 heures) et demandeurs d’emploi (291 heures) s’allonge (respectivement + 5 % et + 10 %).
Les employeurs restent tout de même les principaux financeurs de la formation continue universitaire avec 76 millions d’euros, soit 37 % du chiffre d’affaires, suivis des pouvoirs publics (66 millions), et principalement, les conseils régionaux (33 millions).
