L'opca Fafiec lance un service en ligne pour ses adhérents
Le FAFIEC lance son espace de services en ligne. Les entreprises de l'informatique, de l'ingénierie, du conseil et des foires & salons peuvent demander à l'OPCA leur demande de financement de leur formation et suivre l'état d'avancement de leurs dossiers.
Les services en ligne du FAFIEC, ce sont également une information permanente sur :
- les grands sujets de la formation professionnelle (DIF, VAE, GPEC, Professionnalisation),
- des outils pratiques pour aider les entreprises à la mise en œuvre de leur démarche de formation,
- l’actualité permanente de la formation avec le webzine, www.fafiec.fr/webzine
Un guide d’utilisation et une aide en ligne sont disponibles pour accompagner les entreprises dans leur démarche.
The Opca FAFIEC launches a site for its members and available day and night. Line Services FAFIEC, it is also a permanent information on: large areas of vocational training (DIF, VAE, GPEC, Professionalizing). More...
La formation continue ne joue pas du tout son rôle de promotion : L'ascenseur social fonctionne en France, mais il descend !
Au moment même où un nouvel accord sur la formation continue vient d'être signé, des études montrent un phénomène inquiétant : la mobilité sociale décroît rapidement en France. Cela interroge à la fois la formation initiale et la formation continue.
Le terme de promotion sociale a été inventé en 1959. A l'époque, il fait référence au système de formation continue et d'éducation permanente en construction qui aboutira à la loi de 1971 inspirée par Jacques Delors. Dans l'esprit des législateurs de l'époque, il s'agissait par la seconde chance de pouvoir s'élever socialement. Le vingtième siècle, entre autres avancées sociales, a vu la généralisation de la mobilité sociale dite ascendante. D'une génération à une autre, les enfants ou petits-enfants d'ouvriers ou d'employés devenaient enseignants, cadres ou médecins... Bref, s'élever au dessus de la condition sociale de ses parents était la norme.
Une étude de l'Insee publiée dans la revue Economie et Statistiques montre qu'il est aujourd'hui plus rare de dépasser la condition de ses parents et ce, quelles que soient les classes sociales. De même, la proportion et le nombre de salariés payés au Smic augmentent en France, alors que, dans le même temps, le niveau d'étude et les qualifications des actifs sont en hausse. Il est paradoxal, dans un pays où le diplôme est une obligation sine qua non pour trouver un emploi, que seulement 1% des actifs obtienne une certification reconnue par le biais de la formation continue chaque année.
Dans d'autres pays, plus on se forme et plus on accède à des postes à responsabilité. La formation permet alors ainsi un décloisonnement des classes sociales. Des outils largement inexploités existent comme le congé individuel de formation. Ce dispositif laisse une place à l'autonomie du salarié pour une formation de son choix et une durée qui permet vraiment une reconversion ou un perfectionnement. Malgré son efficacité, il n'est accordé qu'au compte-goutte. Le CIF qui représente un droit pour le salarié à suivre une formation de son choix tout en étant rémunéré est le dispositif qui permet le plus d'ouverture à la fois à la culture générale, à la formation et à la mobilité professionnelle. Même si le nombre de CIF augmente depuis 1984, celui-ci reste insuffisant : environ 30 000 par an, alors qu'il en faudrait au moins 100 000. Là réside l'objectif d'une vraie réforme. Un redéploiement des moyens financiers et des dispositifs autour du CIF permettrait enfin de donner une consistance au slogan d'éducation et de formation tout au long de la vie. Source.
Giáo dục tiếp tục phát hiện không có vai trò trong việc thúc đẩy: thang máy hoạt động xã hội ở Pháp, nhưng nó đi xuống! Đáp redeployment các nguồn lực và các thiết bị xung quanh CIF cũng cho nhất quán với khẩu hiệu của giáo dục và đào tạo trong suốt cuộc đời. Tháng. Suite...
Bercy se prépare à réformer la formation initiale des fonctionnaires
Raymond-François Le Bris, préfet honoraire et ancien directeur de l'ENA, a remis, hier, à André Santini, secrétaire d'Etat chargé de la Fonction publique, un rapport très critique sur l'organisation de la formation initiale des fonctionnaires. Il dénonce la dispersion des moyens entre les 169 écoles du service public et les coûts de gestion élevés qui en découlent. Par ailleurs, il estime que le contenu des formations n'est pas assez professionnalisé et fait parfois doublon avec l'enseignement supérieur. Il préconise de réduire la durée de formation dans les écoles (hors stages), d'individualiser davantage les cursus, de développer des formations par alternance et d'envisager des regroupements d'écoles. Bercy, qui compte trouver là des sources d'économies très importantes, doit arrêter « prochainement » les mesures retenues. Source.
Bercy se připravuje na reformu počátečního vzdělávání zaměstnanců. Pramen. Suite...