16 janvier 2009

Succès du statut d’auto-entrepreneur

"En 2008, nous allons dépasser de justesse le record de 322 000 créations d’entreprise établi en 2007", a déclaré la ministre de l’Economie, anticipant sur une publication de l’Insee prévue à la fin du mois sur le bilan des créations d’entreprise. Le nombre de créations aurait atteint 26000 en décembre, dans un contexte de crise économique. Autre point positif, le ministère de l’Economie a déjà enregistré 40 000 préinscriptions pour le nouveau statut d’auto-entrepreneur et Christine Lagarde a fixé un objectif de "200 000 auto-entrepreneurs en 2009".
Le statut d’auto-entrepreneur, créé par la loi de modernisation de l’économie, donne droit à un forfait fiscal et social unique à taux préférentiels. Aucune démarche n’est requise en l’absence de chiffre d’affaires. Ce statut simplifié de l’entrepreneur individuel est donc destiné à ceux qui lancent leur propre affaire ou veulent développer une activité indépendante sans pour autant créer leur société.
Un forfait fiscal et social pour les entrepreneurs individuels
Ce statut permet donc aux petits entrepreneurs individuels qui le souhaitent de payer leurs charges fiscales et sociales sur une base forfaitaire.
Les taux globaux de charges sont ainsi fixés à 13 % du chiffre d’affaires pour le commerce et à 23 % du chiffre d’affaires dans les services. L’entrepreneur n’est imposé qu’"à partir du jour où il rentre du chiffre d’affaires". Lorsqu’il arrête son activité, il arrête de payer des charges. Ce prélèvement forfaitaire est optionnel et, au choix de l’entrepreneur, mensuel ou trimestriel. Hervé Novelli se rendra jeudi 15 janvier au siège du groupe PriceMinister, un des chefs de file du commerce en ligne français, pour présenter les avantages du nouveau statut et répondre aux questions des auto-entrepreneurs.
"In 2008, we'll just over the record of 322 000 new businesses established in 2007," said Minister of Economy, anticipating publication of INSEE at the end of the month on the balance sheet start-ups. The number of births reached 26,000 in December, against a backdrop of economic crisis. Another positive, the Ministry of Economy has already registered 40 000 pre-registration for the new status of "self-entrepreneur and Christine Lagarde has set a target of 200 000 self-entrepreneurs in 2009. Suite...

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Synthèse de l'accord national interprofessionnel - Ani

Efigip a réalisé une synthèse de l'Accord national interprofessionnel du 7 janvier 2009 sur le développement de la formation professionnelle, la professionnalisation et la sécurisation des parcours professionnels.
La synthèse porte sur les 4 grands volets de l'Ani :
- La compétitivité des entreprises et la sécurisation des parcours professionnels des salariés
- La qualification et la requalification des salariés et des demandeurs d'emploi
- L'anticipation, la certification et la validation des acquis de l'expérience
- La gouvernance et les instances paritaires de la formation. Synthèse
Efigip 2009年1月7日、職業訓練、専門的かつ安全なの開発にキャリアの国家間の契約の合成を行った。Suite..Synthèse

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Analyses des classements internationaux des établissements d'enseignement supérieur

La publication de l’Academic Ranking of World Universities (ARWU) en 2003 a été la première d’une série de classements internationaux des établissements d’enseignement supérieur qui témoigne de l’avènement d’une véritable concurrence internationale dans ce domaine. Les approches utilisées pour les classements sont sensiblement différentes tant sur les modalités de choix des établissements à classer, que sur les critères et méthodes de mesure, ou sur la présentation des résultats. Cette diversité s’exprime pleinement au travers des sept classements internationaux qui sont détaillés et analysés dans l’article.
Dans l’ARWU et le Times Higher Education (THE) qui visent une couverture mondiale, quelques universités françaises figurent parmi les cent premières. Elles ne se classent cependant jamais dans les toutes premières, qui sont le plus souvent basées aux États-Unis et au Royaume-Uni.
Dans le classement européen du Center for Higher Education (CHE), le nombre d’établissements français classés dans l’« excellence group » est inférieur à celui du Royaume-Uni, de l’Allemagne, des Pays-Bas et de l’Italie. Il est identique à celui de la Suède. Les « grandes écoles », quand elles entrent dans la sélection des établissements à classer (le classement de Leiden ne classe que les universités) apparaissent dans un positionnement moyen, excepté dans le classement de l’École des Mines.
Toutefois, le classement du Financial Times appliqué uniquement aux programmes de masters en management européens fait figurer les écoles de commerce françaises en excellente position. Le classement du CSIS (le Conseil supérieur de la recherche scientifique espagnol) est le seul qui fasse ressortir les organismes de recherche français en tant que tels.
Sous l’appellation « établissement d’enseignement supérieur », se définissent en fait des entités très diverses aux missions variées. Tout classement générique de cet ensemble hétéroclite est par nature arbitraire : il dépend des dimensions prises en compte pour caractériser les établissements (enseignement, formation, innovation, valorisation, responsabilité sociétale,...), des indicateurs utilisés pour placer les établissements par rapport à ces dimensions, et enfin, du mode de pondération des dimensions entre elles. Les classements sont ainsi le résultat de multiples choix, qui se justifient par rapport à des représentations préétablies de la qualité et à des objectifs implicites ou explicites. Compte tenu des nombreuses applications qui peuvent être attribuées aux classements, donc aux multiples  objectifs possibles, aucun classement générique, quelles que soient sa qualité et sa pertinence, ne pourra répondre à l’ensemble des besoins et des questions.
De tels exercices constituent cependant une bonne méthode pour appréhender des systèmes aussi complexes et poser les questions de fond sur les voies d’amélioration des politiques publiques et des stratégies d’établissement. Toutefois, ils ne correspondent pas à une véritable démarche d’évaluation. Le principe de rangement sur une échelle unique aboutit en effet à confronter entre eux des objets très différents. Une évaluation comparative entre établissements d’enseignement supérieur ne peut se construire qu’à partir d’un travail de typologie permettant d’identifier parmi les établissements, voire au sein même des établissements ou d’organisations inter-établissements, les objets dont la proximité entre eux rend la comparaison pertinente. La typologie permet en outre d’appréhender l’enjeu de la nécessaire diversité du système par rapport à l’ensemble des besoins de la société, à l’inverse du classement hiérarchisé qui oriente vers un modèle uniformisé. Enfin, elle offre la possibilité de réorganiser les critères en fonction des objectifs ciblés, donc de répondre à un plus large spectre de besoins. télécharger.

Analizzare il posizionamento internazionale degli istituti di istruzione superiore. La tipologia di capire anche l'importanza della necessità per la diversità del sistema in relazione a tutte le esigenze della società, a differenza della classificazione gerarchica, che punta a un modello standard. Infine, offre la possibilità di riorganizzare i criteri in conformità con gli obiettivi e quindi rispondere a un più ampio spettro di esigenze. Suite... Download.

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L'indemnisation des chômeurs en formation en panne de financement

L'Etat a coupé les financements de l'allocation de fin de formation destinée aux chômeurs en fin de droits Assedic en cours de formation. Le gouvernement promet une solution « dans les prochaines semaines ».
Tout le monde est d'accord pour dire que la formation est une des clefs majeures du retour à l'emploi. Patronat et syndicats viennent même de négocier un accord renforçant les moyens en la matière, qui pourrait réaliser le grand chelem des signatures, et le gouvernement se dit prêt à accompagner le mouvement. Tout le monde est d'accord, donc, et, pourtant, les chômeurs qui ont besoin d'une formation d'une durée supérieure à leur durée d'indemnisation ont eu une mauvaise surprise en ce début d'année. Dans la loi de Finances pour 2009, le gouvernement a en effet supprimé la quasi-totalité du financement de l'allocation de fin de formation (AFF), à savoir 169 millions d'euros sur plus de 200 millions (« Les Echos » du 3 octobre 2008). Cette allocation, qui relaie celle de l'assurance-chômage quand les droits à indemnisation sont épuisés en cours de formation, bénéficie à environ 22.000 personnes chaque mois. Lors de la discussion budgétaire, les pouvoirs publics ont renvoyé la balle aux partenaires sociaux dans le cadre de la négociation sur l'assurance-chômage. Mais ceux-ci ont fait la sourde oreille et n'ont rien prévu dans l'accord Unedic.
Il n'y aura cependant pas de nouvelle affaire des « recalculés », ces 600.000 personnes qui avaient vu brutalement leurs droits à indemnisation réduits en janvier 2004 à la suite d'une réforme de l'Unedic. Les chômeurs dont la formation a débuté l'an dernier et dont l'allocation chômage s'est ou va s'arrêter continueront à bénéficier de l'AFF, assure le secrétariat d'Etat à l'Emploi. Jusqu'à nouvel ordre, les agents de Pôle emploi ne prescriront donc plus de formations excédant la durée d'indemnisation de l'assurance-chômage.
Le secrétariat d'Etat à l'Emploi se veut rassurant. « C'est une question de semaines pour caler les choses, il faut déjà savoir qui finance quoi pour faire quoi », explique-t-on dans l'entourage de Laurent Wauquiez, évoquant l'accord sur la formation professionnelle et la nécessité pour Pôle emploi de « prescrire plus tôt » des formations.
Une chose est sûre : une imputation de cette dépense sur les 500 millions d'euros de coup de pouce à la politique de l'emploi inscrits dans le plan de relance réduirait d'autant la réalité de l'effort consenti par l'Etat. Un financement par le futur fonds de sécurisation des parcours professionnels négocié dans le cadre de l'accord sur la formation professionnelle reviendrait simplement à changer de financeur, sans apporter davantage de services aux chômeurs.
Kompenzace nezaměstnaných ve výcviku pod-financována. Jedna věc je jistá: poplatek těchto výdajů z 500 milionů eur na podporu politiky zaměstnanosti jsou uvedeny v plánu na snížení realitu úsilí ze strany státu. Finanční prostředky z fondu na zajištění budoucí kariéru sjednána na základě dohody o odborné přípravě by jednoduše změnit financování, bez poskytnutí další služby pro nezaměstnané. Suite...

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Statut des enseignants-chercheurs: le Sgen-CFDT apprécie, pas le Snesup

Le syndicat Sgen-CFDT a annoncé jeudi qu'il "appréciait" les annonces faites par la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Valérie Pécresse sur la modification du statut des enseignants-chercheurs, alors que le Snesup-FSU veut "le retrait" du décret.
La modification de ce statut qui date de 1984 et régit la carrière des universitaires est une conséquence, selon Mme Pécresse, de la loi sur l'autonomie des universités.
Le décret va concrétiser le transfert de la gestion des ressources humaines et des carrières aux universités. Il va leur donner le pouvoir de "moduler" le temps de service des personnels entre enseignement, recherche et tâches administratives. Et les enseignants-chercheurs vont être évalués tous les quatre ans par le Conseil national des universités (CNU), qui se voit retirer le pouvoir qu'il avait jusqu'alors de décider 50% des promotions.
Mme Pécresse a apporté jeudi plusieurs "garanties", sur la modulation de service, la transparence de décisions de promotion, l'existence d'une instance nationale de réexamen pour les non-promus, ou la persistance de références nationales pour l'organisation du travail des enseignants-chercheurs.
"Ces mesures répondent en partie aux inquiétudes du milieu et aux demandes" faites par le Sgen qui en "apprécie" donc "leur annonce", tout en demandant que la ministre "réunisse rapidement les organisations syndicales pour avancer concrètement sur les mesures proposées et sur le budget".
Le Snesup-FSU juge lui que Mme Pécresse "s'entête dans sa volonté de faire des présidents d'universités des managers aux pouvoirs exorbitants". Il estime aussi que "la volonté de faire de l'alourdissement des services des personnels une réponse au désengagement de l'Etat reste au coeur du texte".
Comme il ne voit que des "modifications cosmétiques", le Snesup "continue à exiger le retrait de ce projet de décret". Celui-ci va néanmoins être transmis prochainement au Conseil d'Etat, a assuré jeudi Mme Pécresse. Source
Documents :
- le discours de Valérie Pécresse devant le CNU le 15 janvier 2009.
- son communiqué à la sortie du rendez-vous.
- le compte-rendu de la rencontre par P. Boutry (CNU, 22e section).
- le communiqué de presse des deux ministères concernant la réforme de la formation des enseignants.
Schimbarea de acest statut, care datează din 1984 şi reglementează carieră academică este o consecinţă, în conformitate cu doamna Pécresse, Legea cu privire la autonomie a universităţilor. Acest decret se va face transferul de resurse umane şi de gestionare a carierei universităţi.Aceasta le va da puterea de a "regla" timpul de personal între predare, cercetare şi sarcinile administrative. Şi facultatea va fi evaluată la fiecare patru ani de către Consiliul Naţional al Universităţilor (CNU), care este puterea de a scoate pe care le-a fost de 50% de a decide promotii.Suite...

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