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Formation Continue du Supérieur
1 mars 2011

Demandeur d'emploi : quelle formation ?

http://arche.francetv.fr/1024/france5/logo_france5.gifTrouver une formation représente un véritable investissement : en énergie, en temps et en argent. C'est une démarche individuelle que certains n'hésitent pas à qualifier de parcours du combattant. Pour vous aider à vous y retrouver, voici les réponses aux questions les plus courantes et les conseils de deux experts de la Cité des Métiers.
Quelles sont les conditions pour suivre une formation ?
Pour un demandeur d'emploi, tout projet de formation doit s'inscrire dans le PARE (Plan d'aide de retour à l'emploi) et le PAP (Projet d'action personnalisé). Il doit être validé par un conseiller Pôle emploi, mais demande un travail de réflexion préalable (consultez l'article "Comment bien définir son projet de formation"). Si votre demande n'a pas été validée, vous pouvez tout de même suivre votre formation. Mais vous n'êtes plus considéré comme un demandeur d'emploi, vos frais de formation sont à votre charge et vous risquez de perdre votre couverture sociale.

Où trouver une formation ?

Il n'existe pas d'ouvrage unique répertoriant toutes les formations conventionnées existantes. Mais quelques sources sont incontournables :
- les catalogues de formation édités par les Conseils régionaux, qui sont de gros financeurs de formations. Ils sont disponibles dans les agences Pôle emploi.
- la base de données des CARIF (Centre d'animation de ressources et d'information sur la formation). On y trouve les stages de formation financés par les Conseils régionaux ou l'Etat, les programmes de formation et les centres de formation.
- les stages proposés par l'AFPA et les formations des GRETA.

Il existe d'autres dispositifs accessibles à des demandeurs d'emploi remplissant certaines conditions

Les demandeurs d'emploi indemnisés peuvent en effet bénéficier de différents dispositifs : informez-vous dans votre agence Pôle emploi.
Si vous ne percevez pas d'allocations chômage, vous pouvez toutefois bénéficier d'aides pour accéder à la formation :
- l'Action de formation préalable au recrutement (AFPR)
- le Contrat d'accompagnement à l'emploi (CAE). Ce dispositif est également valable dans les DOM (CAE DOM)
- le Contrat initiative emploi (CIE)
- le contrat de professionnalisation
- le Congé individuel de formation CDD (CIF CDD)
- le Congé individuel de formation Intérim (CIF Intérimaire).

L’aide individuelle à la formation

Pôle emploi peut vous attribuer une aide individuelle à la formation pour contribuer au financement des frais pédagogiques d’une formation professionnelle nécessaire à la reprise d'un emploi ou à la création d'une entreprise. La demande d'aide doit être déposée au plus tard quinze jours avant le début de la formation. Pour en savoir plus, consultez le site de Pôle emploi.
Quelle rémunération pendant ma formation ?
Tout dépend de votre statut de demandeur d'emploi.
Si vous percevez l'allocation d'Aide au retour à l'emploi (ARE) et que votre projet de formation s'inscrit dans votre PAP, vous conservez le montant de vos allocations dans la limite de vos droits acquis. Si votre formation se prolonge au-delà de vos droits à indemnisation, vous pouvez, sous certaines conditions (voir avec votre conseiller Pôle emploi), toucher une allocation de fin de formation. Si vous n'êtes pas indemnisé au titre de l'ARE, vous pourrez dans certains cas percevoir une rémunération versée par l'Etat si votre stage est agréé au titre de la rémunération des stagiaires. Vous devez alors vous adresser au centre de formation que vous voulez intégrer.
Les frais de formation (inscription, transports, hébergement, repas...) sont-ils pris en charge ?

Selon le stage que vous suivez et en fonction de votre situation personnelle, une aide financière peut vous être accordée dans certains cas par le Pôle emploi, le Conseil régional, le Conseil général, votre mairie, l'Association pour la Gestion du fonds pour l'insertion professionnelle des handicapés (l'Agefiph), la Caisse d'allocations familiales (CAF), votre caisse de retraite, etc...
http://arche.francetv.fr/1024/france5/logo_france5.gif Keressen egy tanfolyam, amely valódi beruházás: időt, energiát és pénzt. Ez egy egyedi megközelítés, hogy néhány, ne habozzon, hívjon akadálypályán. Hogy segítsen megtalálni az utat, itt gyakori kérdésekre adott válaszokat és tanácsokat, két szakértő, a Cité des tevékenységcsoportokat. Milyen követelményeket kell teljesíteniük a képzést?
Az álláskeresők, míg a képzési projektet a Pare (terv támogatás vissza dolgozni), és a PAP (Project Custom Action). Meg kell hitelesíteni tanácsadó munkaügyi központ , de megköveteli a gondolkodási folyamat előtt (lásd a cikk " Hogyan lehet meghatározni a tanulási tervet "). Ha az alkalmazás nem hagyták jóvá, akkor is kövesd a képzés. De te már nem tekinthető álláskeresőnek, a képzés költségeit az Ön felelőssége, és akkor elveszti a lefedettség. Még több...
1 mars 2011

Xavier Bertrand demande aux régions de travailler avec l'Etat sur l'apprentissage

http://www.lesechos.fr/images/les-echos.pngPar Leïla de COMARMOND. Le ministre du Travail va rétablir l'allocation de fin de formation pour les chômeurs. Et demande aux régions de travailler avec l'Etat sur l'apprentissage. Celles-ci se méfient...
Il a annoncé le rétablissement de l'indemnisation des chômeurs en formation longue (quand leurs droits sont expirés), alors que cette allocation était supprimée depuis le 31 décembre. « Nous allons la remettre en route et il y aura même un effet rétroactif », a-t-il précisé.
Le ministre a également lancé aux départements et aux régions : « Travaillons ensemble.  » Pour les conseils généraux, il s'agit de proposer davantage de contrats aidés. Sur l'apprentissage, les régions (qui ont dépensé près de 2 milliards d'euros en 2010) et l'Etat sont condamnés à travailler ensemble. Mais les relations étaient à couteaux tirés avant le remaniement de novembre. Le changement de ministres s'est accompagné d'un changement de ton. Les enjeux financiers et politiques (les régions sont toutes à gauche sauf une) rendent cependant l'union délicate. Le passif est lourd : un projet (atténué ensuite au Sénat) de renforcement de la tutelle de l'Etat dans le cadre de la réforme de la formation professionnelle, une violente charge contre leur action en matière d'emploi au moment de la campagne des régionales, etc.
Des contrats sans attendre
Le discours de Laurent Wauquiez à l'égard des régions avait commencé à s'adoucir à l'automne. Ses successeurs affirment vouloir enterrer la hache de guerre. Ainsi Xavier Bertrandleur propose-t-il un marché : « Qu'ils mettent 1 euro quand l'Etat met 1 euro. » Dans un courrier adressé à chacun de leurs présidents, le 18 février, il évoque un « partenariat » à « matérialiser rapidement dans le cadre des contrats quinquennaux d'objectifs et de moyens », sans attendre l'échéance prévue fin juin. La ministre chargée de la Formation, Nadine Morano, souligne que l'Etat est prêt à mettre 350 millions par an dans ces contrats. Elle a reçu le 16 février le président de l'Association des régions de France (ARF), Alain Rousset (Aquitaine), et son vice-président chargé de la formation, Jean-Paul Denanot (Limousin). Elle a demandé aux préfets d'évaluer les précédents contrats et compte se lancer dans un « tour de France » des régions.
Les régions sont partagées entre la volonté d'affirmer leur savoir-faire sur l'emploi, forme d'avant-goût de ce que pourrait faire la gauche au pouvoir, et la crainte de voir l'exécutif phagocyter leurs moyens pour soigner son bilan. « Le discours a un peu changé, il est moins frontal, mais, sur le principe, on reste sur un Etat jacobin, regrette Jean-Paul Denanot. Nous sommes prêts à toutes les discussions, mais nous en avons assez de payer pour l'Etat. »
http://www.lesechos.fr/images/les-echos.pngPermezz Comarmond de Leila. Il-Ministru tax-Xogħol se jirrestawraw l-allokazzjoni ta 'l-aħħar ta' taħriġ għall-qiegħda. U jistieden lill-reġjuni biex jaħdmu ma 'l-Istat fuq it-tagħlim. Dawn huma suspettużi...
Huwa ħabbar l-irkupru ta 'kumpens għall-qiegħda fil-ħin ta' taħriġ (meta d-drittijiet tagħhom skadew), filwaqt li l-allowance kienet ġiet abolita mill Diċembru 31. "Aħna se jerġa u hemm saħansitra se tkun retroattiva, huwa qal
. More...
1 mars 2011

"Triplons notre capacité d'accueil" d'étudiants étrangers

http://medias.lemonde.fr/mmpub/img/lgo/lemondefr_pet.gifPar PierreTapie, directeur général du groupe Essec, Président de la Conférence des Grandes Ecoles. Une politique volontariste à l'égard des étudiants étrangers permettrait à la France d'attirer et de fidéliser les futures élites du monde émergent.
Dans la compétition que la mondialisation a exacerbée entre les économies, émerge un espace d'importance croissante : celui de l'influence respective des pays, selon leur capacité à attirer les futures élites mondiales pour y étudier.
A long terme, les lieux d'études choisis par ces étudiants fondent une influence culturelle, dont les conséquences économiques peuvent être considérables. Quand on connaît les entreprises d'un pays, qu'on a pu en découvrir les compétences et y tisser des réseaux relationnels, au retour on pensera naturellement à ces entreprises comme fournisseurs, à ces relations personnelles comme experts. Le temps des études est fondateur de la vie adulte; des amitiés s'y nouent, des valeurs et des représentations du monde s'y cristallisent: des étudiants qui ont séjourné deux ou trois ans dans un pays étranger en deviennent des ambassadeurs à vie.
Les Etats-Unis ont longtemps dominé la scène de l'émigration étudiante, avec des universités remarquables et riches, et le rêve d'une installation au pays des pionniers. La perception de l'Amérique dans le monde a changé au cours des années 2000; la panne de croissance et les restrictions à l'immigration ont affaibli l'attractivité de ces universités; les places y sont limitées. Aussi l'Europe apparaît-elle comme une option intéressante pour les jeunes de pays émergents, notamment asiatiques : terre de culture et de sciences, terre d'équilibre entre l'économique et le social, terre habitée depuis des millénaires par des populations à forte densité démographique qui a dû apprendre à gérer des ressources naturelles rares, l'Europe multilingue a créé un espace pacifique de prospérité.
Ces éléments attirent des jeunes étudiants brillants venus de pays riches d'histoire et de culture, qui veulent connaître différents modèles de développement pour inventer le leur. Dans ce contexte, la France garde une aura certaine, que nous aurions tort de dédaigner: pays des droits de l'homme, terre de paysages, de gastronomie, de littérature, de sciences, de médecine, de ruptures technologiques... cette alchimie particulière représente une "marque France" que nous pouvons mieux mettre en valeur. La France est déjà la troisième destination mondiale pour l'accueil d'étudiants étrangers, avec 246000 étudiants en 2009. C'est la première destination non anglophone. La France accueille surtout des étudiants du Maghreb et d'Afrique subsaharienne, cinq pays représentant 62% du total des étudiants étrangers en France: Maroc, Algérie, Tunisie, Cameroun et Sénégal. La Chine est désormais à la deuxième place. L'enjeu pour notre pays est de changer d'ambition pour l'accueil d'étudiants étrangers.
La Conférence des grandes écoles propose de tripler, en dix ans, le nombre total d'étudiants étrangers formés par des établissements français, pour qu'il passe de 246000 aujourd'hui à 750000 demain, soit environ 500000 étudiants étrangers de plus en dix ans. Ces derniers représentent aujourd'hui 12% du total des étudiants en France. Cette évolution amènerait à une proportion d'étrangers d'environ 30% du total des étudiants. Dans un certain nombre d'institutions, essentiellement des grandes écoles, ces proportions sont déjà dépassées aujourd'hui. Notre expérience indique qu'à partir de cette proportion les comportements des étudiants changent les uns vis-à-vis des autres: les étrangers ne sont plus une poignée minoritaire qui vit au rythme et selon les moeurs des étudiants français; ils exigent de contribuer, d'être respectés pour la diversité et l'expérience apportée à la classe : ils défient les comportements parfois potaches des étudiants français et les obligent à sortir de leur confort, car leur motivation et leur brio sont une concurrence. Ils obligent alors leurs collègues français à révéler le meilleur d'eux-mêmes, comme ils savent très bien le montrer quand eux-mêmes vont étudier à l'étranger. Ils changent la relation entre enseignant et apprenant.
Si on adhère à cette ambition, si on en mesure les enjeux à long terme, on doit se demander: est-ce réaliste? Comment le faire? C'est assez simple. En termes de taille tout d'abord, plus 500000 étudiants en dix ans signifie simplement plus 50000 étudiants par an, soit + 2% par an en moyenne par rapport au nombre total. Gérer des croissances de +2% correspond à des évolutions normales du milieu universitaire, dès lors que cela est construit et planifié. La question-clé est celle du financement. Nous faisons une proposition très simple: le coût moyen d'une formation d'un étudiant en France, qui varie bien sûr considérablement selon les secteurs, est de 11000 euros par an, tous secteurs confondus. Nous proposons que 80% des étudiants paient 125% de cette somme pour que 20% puissent disposer d'une bourse gratuite sur critères sociaux et/ou, de mérite.
Aujourd'hui, les 246000 étudiants étrangers, accueillis essentiellement gratuitement par la France, représentent un coût pour le budget de l'Etat d'environ 2,5 à 3 milliards d'euros. Avec ces mesures, nous serions capables d'accueillir 750000 étudiants en assurant la gratuité à la moitié d'entre eux environ, l'autre moitié payant, en moyenne, 13 500 euros par an, et la France investissant 2,5 à 3 milliards d'euros dans un vaste système de solidarité. Ces frais de scolarité annuels représentent environ la moitié de ceux demandés par une université américaine au niveau "Bachelor", 40000 dollars (29000 euros), à peu près les frais demandés en Grande-Bretagne ou en Australie. Nos institutions se croiraient-elles tellement moins bonnes que leurs confrères qu'elles ne l'oseraient? Est-ce un principe tabou? Les étudiants étrangers considèrent souvent que ce qui est gratuit n'a pas grande valeur.
Les étudiants européens, comme les français, continueraient à bénéficier d'une quasi-gratuité pour leur scolarité en Europe continentale. Mais les impôts des Français, insuffisants à équilibrer les comptes publics, n'ont pas à financer des formations de haute qualité que des familles étrangères seraient prêtes à payer le double aux Etats-Unis. S'interdire ce réalisme économique signifierait s'interdire l'ambition susdécrite. Pour le développement des établissements universitaires français, les sommes en jeu sont considérables : les 400 000 étudiants payants apporteraient 5,4 milliards d'euros de ressources annuelles nouvelles, soit + 25% des budgets publics de l'enseignement supérieur et de la recherche, et sept fois la partie "enseignement supérieur et recherche" du grand emprunt.
Les obstacles sont avant tout psychologiques. Il faut penser que l'influence future de la France dépend de l'ambition d'y former à grande échelle les prochaines élites mondiales. Il faut se dire que les espaces universitaires seront transformés si un tiers des étudiants y deviennent des étrangers qui auront fait le choix de la France. Il faut alors accepter d'en tirer les conséquences financières, qui iront concourir à la qualité des formations par les ressources nouvelles créées, alors que certaines charges seront marginales. Il faut enfin accepter qu'une partie significative de ces enseignements puisse être donnée en langue anglaise, et abolir la loi Toubon dans l'enseignement supérieur.
Le nombre de jeunes étrangers capables de suivre des cours en anglais est à peu près vingt fois supérieur à ceux capables de le faire en français. En les sélectionnant sur les critères adaptés à leur formation, et en intégrant une pratique obligatoire de la langue française en fin de formation, on défendra mieux la langue de Molière en développant des francophiles, qui, en un second temps, deviendront francophones de surcroît, que si l'on impose à des jeunes de cultures différentes, qui ont déjà fait un effort considérable en apprenant l'anglais, de comprendre un français de niveau universitaire dès le début de leur séjour. Cela ne serait ni raisonnable ni efficace par rapport à l'objectif poursuivi. C'est en faisant découvrir et aimer la langue française à de nouveaux publics qu'elle rayonnera, comme conséquence de la francophilie.
Accueillir en dix ans 500 000 étudiants de plus dans les établissements français, sur le territoire français comme sur de nouveaux campus en terre lointaine basés sur notre ingénierie pédagogique et scientifique, et le faire pour contribuer à une mondialisation multipolaire où la France mérite d'être influente: voilà une ambition que toutes les écoles et universités françaises volontaires peuvent construire comme dessein partagé. C'est un projet qui se déclinera établissement par établissement, dans la culture de l'autonomie et de l'initiative constitutive du monde universitaire. Les établissements seront transformés par les conséquences concrètes qu'il en résulte. Et cela sera autofinancé. Ce serait un des moyens pour augmenter les dépenses de recherche & développement françaises, auxquelles il manque 15 à 20 milliards d'euros par an pour rester compétitifs. Pourquoi attendre ?
http://medias.lemonde.fr/mmpub/img/lgo/lemondefr_pet.gif By PierreTapie, Director of ESSEC Business School, Chairman of the Conference of Grandes Ecoles . A proactive policy towards foreign students would allow France to attract and retain future leaders of the emerging world. In the competition that globalization has exacerbated between economies, emerging space of growing importance: the influence of the respective countries according to their ability to attract future global elites to study. More...
1 mars 2011

Le CUI-CIE et le CUI-CAE

CUI en métropole
Le CUI se décline en deux versions, selon que l’employeur relève du secteur non marchand (CUI-CAE) ou du secteur marchand (CUI-CIE).
⇒ CUI-CAE : employeurs du secteur non marchand : les employeurs éligibles sont les mêmes que ceux qui étaient antérieurement éligibles au CAE et au CAV :
- collectivités territoriales ;
- autres personnes morales de droit public ;
- organismes de droit privé à but non lucratif ;
- personnes morales de droit privé chargées de la gestion d’un service public.
Les services de l’Etat sont exclus du bénéfice du CUI.
L'emploi doit viser à satisfaire des besoins collectifs non satisfaits.
⇒ CUI-CIE : employeurs du secteur marchand : les employeurs éligibles sont les mêmes que ceux qui étaient antérieurement éligibles au CIE et au CI-RMA :
- employeurs relevant du champ d’application du régime de l’assurance-chômage ;
- établissements publics industriels et commerciaux, sociétés d'économie mixte et entreprises nationales ;
- chambres de métiers, de commerce et d’industrie ou d’agriculture pour leurs salariés non statutaires ;
- groupements d’employeurs pour l’insertion et la qualification (GEIQ) ;
- employeurs de pêche maritime.
Les particuliers employeurs sont exclus du bénéfice du CUI.
En outre, l’employeur en CUI-CIE doit :
- ne pas avoir procédé à un licenciement économique dans les 6 mois précédant l’embauche ;
- ne pas avoir licencié un salarié pour un motif autre que la faute grave ou lourde afin d’embaucher en CUI-CIE ;
- être à jour du versement de ses cotisations et contributions sociales.
ACCOMPAGNEMENT DU BENEFICIAIRE

⇒ Désignation d’un référent au sein de Pôle emploi qui:
- mobilise les prestations pertinentes pour le salarié;
- est l’interlocuteur du tuteur pour le suivi du salarié pendant toute la durée de la convention;
- reçoit le salarié bénéficiaire d’un CUI en CDD 2 mois avant la fin du contrat.
⇒ Désignation d’un tuteur par l’employeur parmi ses salariés. Exceptionnellement, l’employeur peut assurer lui-même le tutorat. Le tuteur a pour mission de:
- participer à l’accueil, aider, informer et guider le salarié;
- contribuer à l’acquisition des savoir-faire professionnels;
- assurer la liaison avec le référent désigné par Pôle emploi;
- participer à l’établissement de l’attestation d’expérience professionnelle que l’employeur doit remettre au salarié à la fin du CUI.
⇒ Remise au salarié d’une attestation d’expérience professionnelle par l’employeur à la demande du salarié, ou au plus tard, un mois avant la fin du CUI.
⇒ Actions de formation professionnelle et d’accompagnement prévues dans la convention.
Voir aussi la Circulaire DGEFP n° 2009-42 du 5 novembre 2009 relative à l'entrée en vigeur du contrat unique d'insertion du 1er janvier 2010. Le CUI dans les DOM.
CUI Franciaországban
A CUI kétféle változatban, attól függően, hogy a munkáltató non-profit szektor (CUI-CAE), illetve a kereskedelmi ágazatban (CUI-ICE). Lásd még: Circular No. 2009-42 DGEFP november 5, 2009 vonatkozóan hatályba lépése az egységes integrációs szerződés január 1-jétől 2010. A CUI a DOM. Még több...
1 mars 2011

« Sommet » avant mai pour l’université alsacienne

http://www.lalsace.fr/fr/images/filiale/logo.pngPar Luc Marck. Les instances dirigeantes des deux universités alsaciennes viennent de se prononcer en faveur d’un nouveau pas, décisif, vers un rapprochement entre l’UHA et l’UdS.
Le rapprochement entre les Universités de Haute-Alsace (UHA) et de Strasbourg (UdS) sera, à coup sûr, l’un des temps forts du printemps à venir. Une nouvelle étape dans ce sens a été franchie, mardi, par le conseil d’administration de l’UdS, qui s’est unanimement exprimé en faveur de l’ouverture de discussions, dans ce but, avec l’UHA.
Le président de l’UdS Alain Beretz, interrogé hier après-midi, nous a confirmé que la même instance s’était également prononcée en faveur d’une réunion conjointe, avant mai, des conseils d’administration des deux établissements. Même si, « à titre personnel », il estime que « la fusion reste, à moyen terme, un objectif incontournable », Alain Beretz a estimé qu’il appartiendrait à ce CA (conseil d’administration) commun de définir les modalités du rapprochement à venir. Mais, a rappelé le président de l’UdS, cette réunion strasbourgeoise faisait suite à une réunion du CA de l’UHA, vendredi dernier, auprès de laquelle il s’était rendu, avec le 1 er vice-président de l’UdS Michel Denneken, parce que, explique-t-il, ses collègues mulhousiens, « avaient besoin d’une parole directe du président de l’UdS ». Résultat : « Trois heures de débat constructif » et le sentiment d’avoir enregistré « une approche favorable au rapprochement ».
Bien sûr, comme le rappelle Alain Beretz, « c’est à eux maintenant de s’exprimer sur ce qu’ils veulent faire ». Sachant, a-t-il toutefois ajouté, qu’ « il en va aussi de l’avenir du site de Mulhouse ».
Le calendrier dont les deux conseils d’administration ont convenu n’a rien de bien audacieux, puisque, a reconnu Alain Beretz « dans leurs contrats quadriennaux [avec l’État] , l’UHA, l’UdS et l’INSA avaient fait figurer une phrase en tous points identique, précisant qu’un PRES [pôle de recherche et d’enseignement supérieur] serait mis en place avant la fin 2010 »…
Premier à réagir à l’initiative strasbourgo-mulhousienne, l’organisation étudiante de droite MET, qui estime qu’elle permettra « à terme, d’accroître l’attractivité et la compétitivité des deux actuelles universités d’Alsace dans un contexte international concurrentiel ».
http://www.lalsace.fr/fr/images/filiale/logo.pngLuc Marck. Die Leichen der beiden Universitäten Elsässer gekommen, um Schritte-Regel zu Gunsten einer neuen, entscheidenden Schritt in Richtung einer Annäherung zwischen UHA und dem Saarland. Die Versöhnung zwischen den Universitäten von Haute-Alsace (UHA) und Straßburg (Saarland) wird zweifellos einer der Höhepunkte des kommenden Frühlings. Ein neuer Schritt in diese Richtung getroffen wurde Dienstag von der Board of Directors des Saarlandes, die einstimmige Unterstützung für den Beginn der Beratungen zu diesem Zweck zum Ausdruck gebracht hat, mit der UHA. Mehr...
1 mars 2011

La bataille des campus a commencé

http://www.latribune.fr/static/menunew/header_new/logo_tribune_sector.gifPar Clarisse Jay. Bertrand Delanoë lance une consultation sur l'aménagement du "campus" de la capitale. La mairie de Paris promeut le concept d'un "grand quartier latin" qu'elle souhaite plus attractif pour les 600.000 étudiants franciliens que le modèle américain défendu par l'Etat sur le plateau de Saclay.
La Ville de Paris a décidé de mettre en avant son action pour ses campus universitaires face à la politique gouvernementale. Un comité de pilotage va être créé avec les quatre pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) parisiens (Sorbonne Universités, Sorbonne Paris Cité, Hesam et Paris Sciences et Lettres-Quartier latin) et une consultation sur l'aménagement du "campus de Paris" va être lancée, a annoncé hier la municipalité. Un architecte-urbaniste, aidé par une "équipe pluridisciplinaire" doit être désigné au deuxième trimestre 2011 dans le cadre d'un appel d'offres afin de mener une "mission globale de définition et de proposition d'interventions dans l'espace public valorisant Paris comme Ville Université". Après constats des forces et faiblesses du campus parisien, "il fera ses recommandations à la fin du premier trimestre 2012", a précisé Jean-Louis Missika, adjoint au maire de Paris chargé de l'innovation, de la recherche et des universités.
Campus à l'américaine pour Saclay, un grand "quartier latin" pour Paris

En clair, selon Anne Hidalgo, première adjointe au maire de Paris chargée de l'urbanisme et de l'architecture, il s'agit "d'offrir aux étudiants des équipements et des services qui se traduisent par les moyens mais aussi par la transformation de l'espace public". Et Didier Guillot, adjoint chargé de la vie étudiante, de préciser : "Nous voulons mettre en valeur l'idée d'un campus qui fait sens. Alors que la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, veut développer des campus à l'américaine, fermés et loin des centres-villes, modèle qui a prévalu en province dans les années 60, nous pensons au contraire que l'université fait sens avec la ville."
"Ouvrir les universités sur la ville est aussi notre idée", approuve Jean-Charles Pomerol, président de l'université Pierre et Marie Curie (Paris 6). Pour "repenser l'espace public en tenant compte de la vie de campus", la mission se concentrera sur trois axes : l'identification des périmètres des différents pôles universitaires ; l'aménagement de l'espace publique (signature urbaine du territoire, aménagements spécifiques sur les sites, services numériques, circulation facilitée entre sites) ; et enfin l'événementiel.
La Ville de Paris compte vendre l'idée d'un "grand quartier latin" incluant des extensions vers le futur campus de Condorcet Paris-Auvervilliers au Nord et vers la cité internationale universitaire, la ZAC Paris Rive-Gauche et Ivry au Sud, sans oublier, à l'Ouest, Paris Dauphine et son projet de pôle financier à la Défense. Pour l'heure, l'enveloppe financière n'a pas encore été fixée mais la Ville de Paris, qui dispose de 8,5 milliards d'euros de budget d'investissement pour la mandature (2008-2014) est en mesure de financer le projet, a assuré Anne Hidalgo.
La moitié des 600.000 étudiants franciliens sont à Paris

L'organisation de l'enseignement supérieur parisien est devenu un véritable enjeu politique. Alors que le gouvernement a fait de l'économie de la connaissance l'une de ses priorités et s'attelle depuis 2007 à réorganiser l'enseignement supérieur et la recherche en multipliant les actions (loi LRU sur l'autonomie des universités, opération campus, regroupements en pôles, grand emprunt...), la bataille est à Paris à la hauteur de la densité du paysage universitaire local : 8 universités intra-muros, 300 établissement d'enseignement supérieur, 300.000 étudiants (soit 50 % des effectifs franciliens), 16.000 chercheurs et enseignants-chercheurs (soit 20 % de la recherche publique française)... Une telle densité est un atout mais aussi une source de complexité et de rivalités. Face à l'impossibilité de créer un seul et immense campus et aux difficultés des acteurs à se mettre d'accord dans le cadre de l'opération campus, lancée en février 2008, Valérie Pécresse avait commandé un rapport sur l'immobilier universitaire parisien à Bernard Larrouturou et sommé les universités de se regrouper en PRES. C'est désormais chose faite.
Mais chaque PRES parisien ayant son propre schéma directeur d'aménagement, auxquels s'ajoutent désormais les projets d'initiative d'excellence dans le cadre du grand emprunt, la Ville de Paris devra donc composer avec l'Etat et les PRES pour mettre en application son projet. "La situation est compliquée. Nous devrons mener un travail de concertation avec les autres démarches en cours", a reconnu Jean-Louis Missika. "Il y a beaucoup de potentiel. Nous devons jouer sur l'existant pour développer des zones piétonnes et faciliter la mobilité entre universités, approuve Louis Vogel, président du PRES Sorbonne Universités (Paris 2,4 et 6). Mais une coordination sera nécessaire entre la Ville, l'Etat et les PRES car tout est imbriqué."
"On court après une Chimère"

Dans l'attente des subsides de l'opération campus, dont la répartition n'est même pas encore entièrement fixée, l'annonce de la Ville de Paris est plutôt bien accueillie par les universités. Mais, tempère Laurent Batsch, le président de l'université Paris Dauphine (Paris 9), qui ne fait partie d'aucun PRES, s'il est utile d'améliorer la fluidité de circulation entre les lieux universitaires, la qualité de la vie étudiante ou encore de créer une identité : "Il ne faut pas que ce grand quartier latin émerge au détriment des autres quartiers intégrant des établissements d'enseignement supérieur" (rive droite, Boulogne, Meudon...). Surtout se pose la question de l'application même du concept de "campus", dont les définitions varient selon les circonstances, au cas particulier de Paris. "On court après une chimère", estime, fataliste, Laurent Batsch.
http://www.latribune.fr/static/menunew/header_new/logo_tribune_sector.gif Permezz Jay Clarisse. Bertrand Delanoe nediet konsultazzjoni dwar l-iżvilupp ta '"kampus" tal-kapital. Paris Kunsill tal-Belt jippromwovi l-kunċett ta '"Kwartier Latin kbira" hi trid aktar attraenti għall-istudenti 600.000' Pariġi li l-mudell Amerikan favur mill-Istat fuq il-plateau Saclay. Il-Belt ta 'Pariġi ddeċieda li jenfasizzaw l-isforzi tagħha li tilħaq politika kampus tagħha. Kumitat ta 'tmexxija se tkun maħluqa bl-erba' ċentri ta 'riċerka u edukazzjoni ogħla (PRES) ta' Pariġi (Sorbonne Università, Pariġi Sorbonne Belt, Hesam u x-Xjenzi u l-Ittri Pariġi-Kwartier Latin) u konsultazzjoni fuq l-iżvilupp ta '"kampus Pariġi "se jkun varat, qal il-bieraħ il-muniċipalità. An u urbani Planner perit, megħjuna minn" tim multidixxiplinarju "għandhom jiġu nominati fit-tieni kwart tal-2011 bħala parti ta 'offerta li jagħmlu" missjoni globali definizzjoni u tipproponi interventi fl-ispazju pubbliku bħala ppremjati Belt Università ta 'Pariġi. More...
1 mars 2011

Accord ARF - CNFPT

http://www.secteurpublic.fr/templates/secteurpublic/images/head.jpgSignature entre l’ARF et le CNFPT du 1er accord-cadre en faveur de l’emploi dans la fonction publique territoriale
François Deluga, président du centre national de la fonction publique territoriale et Alain Rousset, Président de l’association des régions de France, signeront vendredi 18 février le premier accord-cadre national entre le CNFPT et l’ARF. Ce texte formalise l’intention des deux partenaires de promouvoir, de manière coordonnée, une politique globale de formation afin, d’une part, de favoriser l’accès à l’emploi dans les collectivités territoriales et les établissements publics locaux et, d’autre part, d’accompagner l’évolution des missions, des fonctions et des métiers des agents des régions.
A ce titre, l’accord-cadre entend favoriser les partenariats entre les 26 régions et les 34 structures déconcentrées du CNFPT autour, notamment, des axes de collaboration suivants:
* la promotion des métiers et des missions des collectivités et établissements publics locaux
* l’observation et le suivi des emplois et des qualifications
* le développement de l’apprentissage dans la fonction publique territoriale
* l’accès à l’emploi et son maintien
A ces premières pistes de travail pourront bien entendu être ajoutés d’autres champs d’actions pour tenir compte des besoins spécifiques des territoires ainsi que des politiques propres de chaque région, ces dernières conservant, une entière liberté d’initiative pour la définition de leurs propres partenariats.
S’ensuivra la signature, entre la délégation Aquitaine du CNFPT et le Conseil régional d’Aquitaine, du premier contrat d’objectifs rerritorialisés passé entre une délégation régionale du CNFPT et un Conseil Régional.
Depuis 2007 en effet, un partenariat étroit a permis de mener avec succès, des plans de formation des agents de la collectivité régionale dans nombre de domaines. Ce partenariat n’a cessé de s’amplifier ces trois dernières années au cours desquelles le nombre de jours de formation a été multiplié par plus de 5 passant de 864 à 4699 pour un total de 4776 agents.
Jean-Claude Deyres, Délégué régional du CNFPT et Alain Rousset, président de la région Aquitaine concrétiseront leur volonté de poursuivre dans cette voie en s’engageant contractuellement dans un processus pluriannuel défini par 12 actions relatives à la formation des agents de la Région et à un partenariat entre le CNFPT et le Conseil régional sur le champ des compétences de la région.
http://www.secteurpublic.fr/templates/secteurpublic/images/head.jpg Signed between the ARF and CNFPT 1 framework agreement for employment in the public land
François Deluga, president of the National Centre of Public and Territorial Alain Rousset, President of the Association of Regions of France, will sign Friday, February 18 the first national framework agreement between the CNFPT and ARF. This paper formalizes the intention of both partners to promote a coordinated manner, a comprehensive training policy in order, firstly, to promote access to employment in local government and local public institutions and, secondly, to accompany the evolution of the missions, functions and business agents of the regions. More...
1 mars 2011

Le Guichet Entreprises devient un GIP

http://www.lesechos.fr/images/logo_echos-entrepreneur.pngPar Valérie Talmon. Frédéric Lefebvre a lancé hier le Guichet Entreprises, un site dédié aux créateurs. Découverte.
Le guichet unique pour la création d'entreprise a été lancé officiellement hier par Frédéric Lefebvre, secrétaire d'Etat chargé des Petites et moyennes entreprises. Créé en 2009 sous forme d'association, Guichet Entreprises prend aujourd'hui une nouvelle dimension en devenant publique sous forme de groupement d'intérêt public (GIP).
Le site portail www.guichet-entreprises.fr, en phase de test depuis janvier, permet aujourd'hui à tous les entrepreneurs de créer leur entreprise en ligne et d'accomplir de manière dématérialisée les procédures et formalités nécessaires à l'exercice de leur activité.
http://www.guichet-entreprises.fr/mgun_accueil/images/fr/logo/header_logo.pngSur ce site, les créateurs ont accès à une liste de fiches-métiers, une base de données de démarches à accomplir, peuvent trouver la liste des pièces à produire pour chaque formalité et demande d'autorisation. En outre, ils peuvent effectuer le dépôt de dossier de formalités et de demande d'autorisations, et suivre l'avancement de l'instruction de leur dossier.
La dématérialisation des principales procédures d'autorisation administrative pour les professions réglementées sera déployée progressivement au cours de l'année 2011.
Le souhait de Frédéric Lefebvre est que « d'ici janvier 2012, un entrepreneur traditionnel sur cinq utilise le "guichet entreprise" pour monter son entreprise ». Dans le cadre d'une politique de simplification de la création, des guichets physiques seront en outre mis en place courant 2011.
Encore des efforts sur le financement

Parce que le nerf de la guerre de la création, c'est aussi l'argent, le secrétaire d'Etat a proposé aux banques de réfléchir à identifier un référent « création d'entreprise » dans chacun de leurs réseaux. Il souhaite également engager une concertation avec les banques pour une meilleure connaissance des encours de crédits de faible montant. En effet, aujourd'hui, il n'est pas possible de connaître le montant et l'évolution des crédits de moins de 25 000 €, ce qui représente pourtant l'essentiel des demandes de créateurs d'entreprise.
http://www.lesechos.fr/images/logo_echos-entrepreneur.pngValérie Talmon. Frédéric Lefebvre tegnap elindította a Business Bank, a honlapjára az alkotók. Discovery.
A stop-shop a vállalkozások létrehozására hivatalosan indított tegnap Frederic Lefebvre, államtitkár a kis-és középvállalkozások. Készítette 2009-ben, mint egy egyesület, vállalati bank most egy új dimenzió, a nyilvánossá váló mint közérdekű csoport (GIP). A portál www.guichet-entreprises.fr, a tesztelés januárja óta, most már lehetővé teszi, hogy minden vállalkozó kezdi meg üzleti on-line és a papírmentes módja annak, hogy az eljárások és alaki szükséges feladataik tevékenység. Még több...
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